« Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. » Psaume 19.1
Au début du XIXe siècle, Lamarck proposa sa théorie du transformisme, la première formulation scientifique de la théorie de l’évolution. En 1858, Darwin et Wallace avancèrent une nouvelle théorie de l’évolution dans l’ouvrage L’Origine des espèces (1859). Sa théorie était inspirée de l’idée de la sélection naturelle et reçut de nombreuses preuves issues de l’élevage animal, de la biogéographie, de la géologie, de la morphologie et de l’embryologie.
Ce concept peut se définir de diverses manières. Dans certains cas l’accent est mis sur la génétique : les organismes ayant les caractéristiques génétiques leur permettant de mieux utiliser les ressources du milieu ambiant survivent. Dans d’autres cas, c’est une meilleure capacité à se reproduire qui permet la survie de l’espèce, qui peut ainsi perpétuer ses gènes. Selon Vernon Avila, la sélection naturelle est « la théorie selon laquelle les organismes, qui présentent les variations les mieux adaptées au milieu, survivent et se reproduisent et ceux qui présentent des variations peu adaptées au milieu peuvent disparaître. » Raúl ESPERANTE
Si je donne ces informations, c’est pour vous démontrer que la théorie de l’évolution ne tient pas devant l’œuvre créatrice divine. Tout ce que nous voyons nous fait comprendre que ce n’est pas par pur hasard que le monde a existé comme les scientifiques veulent nous faire croire.
Le psalmiste a dit: « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. Le jour en instruit un autre jour, la nuit en donne connaissance à une autre nuit. Ce n’est pas un langage, ce ne sont pas des paroles dont le son ne soit point entendu. » Psaumes 19:2-4. Quelqu’un pourrait supposer que ces grandes choses du monde naturel sont Dieu. Elles ne le sont pas. Tous ces objets d’étonnement ne font que remplir dans le ciel la mission qui leur a été confiée. Ils ne sont que de simples instruments du Seigneur. Dieu est le Conservateur, aussi bien que le Créateur de toutes choses. L’Être divin est occupé à soutenir ce qu’il a créé. La même main qui maintient les montagnes dans leur position dirige les mondes dans leur mystérieux circuit autour du soleil. La Parole déclare qu’il « fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ». Matthieu 5:45. C’est lui qui « fait germer l’herbe sur les montagnes ». « Il donne la neige comme de la laine, il répand la gelée blanche comme de la cendre; il lance sa glace par morceaux. … Il envoie sa parole, et il les fond; il fait souffler son vent, et les eaux coulent. » Psaumes 147:8, 16-18. C’est lui qui « produit les éclairs et la pluie, il tire le vent de ses trésors ». Psaumes 135:7. {MC1 345.1}