« Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Matthieu 24.14)
Sommes-nous en mesure de penser que la mission évangélique est plus importante que toutes les autres missions sur terre ? Sommes-nous capables de concevoir que travailler pour gagner des âmes pour le royaume des cieux est la plus belle et la plus noble des causes ?
« Fortifie-toi et prends courage… » (Josué 1.6a)
Le fruit de l’Esprit est aussi « patience », donc persévérance !
« Vous êtes manifestement une lettre de Christ, écrite, par notre ministère, non avec de l’encre, mais avec l’Esprit du Dieu vivant, non sur des tables de pierre, mais sur des tables de chair, sur les cœurs. » (2 Corinthiens 3.3)
Demander aux êtres humains de croire, c’est demander qu’ils exercent leur liberté. Même si le Saint-Esprit veut conduire le plus grand nombre d’individus au salut, il respectera toujours la volonté humaine car Dieu ne sauvera personne malgré lui, car l’amour ne force pas les cœurs ou les esprits. Ceux qui rejettent Dieu pendant leur vie terrestre, ceux qui nient son existence n’auront aucune excuse lorsqu’ils subiront le verdict final.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16)
Nous pouvons changer la population du « ciel » !
« Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière, vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu, vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, et qui maintenant avez obtenu miséricorde. » (1 Pierre 2.9-10)
Un arbre fruitier qui fleurit ou qui porte déjà de beaux fruits se remarque de loin…
« Vous n’avez pas à connaître les temps et les moments que le Père a fixés de sa propre autorité ; mais vous allez recevoir une puissance, celle du Saint Esprit qui viendra sur vous ; vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre. » (Actes 1.6-8)
La promesse du Saint-Esprit n’est pas une consolation ayant pour but d’enfermer les disciples dans une sorte de contemplation, de nostalgie et de réconfort passif.
« Il y a un temps pour tout sous le soleil… » (Ecclésiaste 3.1)
Il y a probablement des moments où vous avez l’impression que vos prières ne sont pas entendues. A partir de là, vous pensez que Dieu n’agit pas selon ce que vous lui demandez.
« Si tu retiens les fautes, Seigneur, qui subsistera ? Mais tu disposes du pardon et l’on te craindra. J’attends le Seigneur, j’attends de toute mon âme et j’espère en sa parole. Mon âme désire le Seigneur, plus que la garde ne désire le matin, plus que la garde le matin. Israël, mets ton espoir dans le Seigneur, car le Seigneur dispose de la grâce et, avec largesse, du rachat. C’est lui qui rachète Israël de toutes ses fautes ». (Psaume 130.3-8.)
Ne nous lassons pas de remercier Dieu pour le salut. Il n’a pas hésité sur les moyens à mettre en place pour réaliser une telle œuvre.
« Car le salaire du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ. » (Romains 6.23)
La Bonne Nouvelle du salut dit que Dieu a investi ce qu’il a de plus précieux, c’est-à-dire son Fils, pour sauver les hommes du péché et de la mort.
« Celui qui m’a vu a vu le Père ! » (Jean 14.9)
Jésus affirme avec autorité que le vrai visage de Dieu, accessible à tout homme, se trouve en sa personne. En d’autres termes, le moyen le plus sublime, plus grand que la création, que la conscience, les prophètes ou les Saintes Écritures, est Jésus-Christ. D’ailleurs, la Parole divine trouve son sens le plus personnel, intime et vivant dans l’Incarnation.
