Le miracle de la bonté

« Car l’Éternel est bon, sa bonté dure toujours. » Psaume 100.5b

Quelle est votre définition de la bonté ? Faites-vous facilement preuve de bonté ? Connaissez-vous une personne qui produit cette tranche du fruit spirituel ? Quel est votre dernier « acte de bonté » ?

Ces questions ne s’adressent pas seulement à vous qui lisez ce texte. Elles me concernent également, elles concernent tous ceux qui veulent vivre fidèlement avec le Seigneur.

Si Dieu est fidèle et bon, il est raisonnable de penser qu’il demande le même comportement de ceux qui professent croire en lui, et ce en dépit des limites de notre condition.

Faut-il être bon parce qu’on est chrétien ?

Paul emploie le terme « chrestotes » pour signifier cette tranche du fruit spirituel.

Toutefois, il faut reconnaître la difficulté de définir, en une phrase, la notion de bonté, d’autant qu’elle est en lien direct avec d’autres aspects de la croissance spirituelle du chrétien. La bonté se définit davantage dans sa dimension pratique que dans de belles théories : être bon, c’est manifester les qualités propres à ce que l’on est ou ce que l’on fait. Être bon, c’est témoigner d’une certaine probité et de grandes qualités morales. Être bon, c’est aimer et pratiquer ce qui est bien.

Et si la bonté était le miracle le plus urgent dans notre vie personnelle !

Prière du jour : « Seigneur, je suis ouvert à ta grâce qui sauve et qui restaure, qui redonne goût à la foi et à l’espérance. Mais tu veux que tout cela soit empreint de bonté. Merci pour les victoires que tu dois remporter dans ma vie ! »