La Main de Dieu qui Guérit (Partie 3)

« Il entrera dans la paix, il reposera sur sa couche, celui qui aura suivi le droit chemin. » Ésaïe 57:2
(suite)

En mai 1997 Clive a décidé de se marier, même s’il avait le cancer et qu’il avait régulièrement besoin de traitement. En février de l’année suivante, sa santé a commencé à se détériorer. Le 31 mai 1998, en présence de sa femme, sa mère, son père, moi-même et deux de ses meilleurs amis infirmiers, il est décédé. Sa femme était dévastée car c’était leur premier anniversaire de mariage; elle s’était accrochée à l’espoir qu’il guérirait.

Cela s’est passé il y a treize ans après que son premier cancer ne fut diagnostiqué, à l’âge de 28 ans et 7 mois. Il s’est battu pendant treize ans contre le cancer. Pendant toutes ces années il ne s’est jamais plaint ou n’a jamais montré qu’il souffrait.Il n’était jamais déprimé. Il a pleinement vécu sa vie et a accompli bien plus durant sa courte vie que ce que beaucoup d’entre nous ne réussissons à faire pendant toute une vie.

Bien qu’Il ait eu le cancer, il a obtenu son diplôme en tant que médecin, il a fait du parachutisme et de la plongée sous-marine. Il s’est marié à une femme merveilleuse et travaillait tous les jours dans l’unité de traumatologie au Greenacres Hospital pour sauver la vie des gens. Nombreux étaient ceux qui revenaient à l’hôpital pour le remercier de leur avoir sauvé la vie.

Lorsque d’autres médecins renonçaient à traiter un patient, lui, il continuait et priait même avec le patient. Quand il marchait dans les couloirs de l’hôpital, personne n’aurait pu se douter qu’il était médecin. Pour lui son travail n’était pas un prestige, c’était une vocation.

Dans la vie nous prions toujours pour que des miracles se réalisent et pour la guérison des malades. Dans le cas de mon frère, Dieu fera un miracle; si c’est la volonté de Dieu, nous verrons nos prières se réaliser quand au second retour de Christ, ll ressuscitera Clive.

Pépite de santé :
« Dieu répond à nos prières, mais pas comme nous le voudrions. Notre tâche est de lui faire confiance. »