Consoler

Dieu nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l’objet… nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque affliction. 2 Corinthiens 1:4

Le Seigneur accorde à celui qui est affligé une grâce particulière qui lui permet d’attendrir les cœurs et de les sauver. Son amour rafraîchit ceux dont l’âme est brisée et meurtrie, et devient un baume pour ceux qui sont dans la souffrance.

Ceux qui ont éprouvé les plus grands chagrins sont souvent les plus aptes à réconforter leurs semblables; ils sont un rayon de soleil partout où ils vont. Leurs peines les ont rendus doux, modérés; lorsque les difficultés les ont assaillis, ils n’ont pas perdu leur confiance en Dieu, mais ils se sont approchés davantage de son amour protecteur. Ils sont la preuve éclatante du tendre soin de Dieu qui est maître des ténèbres comme de la lumière et nous éprouve pour notre bien. Le Christ est la lumière du monde; en lui il n’y a pas de ténèbres. Quelle précieuse lumière! Vivons dans cette lumière! Renvoyez la tristesse et les plaintes. Réjouissez-vous toujours en l’Éternel.

Vous avez le privilège de recevoir la grâce du Christ qui vous permettra de réconforter vos semblables, ayant vous-mêmes reçu ce réconfort de Dieu. … Cherchez à secourir chaque fois que vous le pouvez. Cultivez les meilleures dispositions afin que la grâce de Dieu vous soit accordée abondamment.

Jeunes et vieux peuvent apprendre à regarder à Dieu comme à celui qui peut guérir, qui sympathise, qui comprend leur dénuement et ne se trompera jamais.

Trouvez le temps de réconforter un cœur blessé, de bénir par des paroles amicales et encourageantes quelqu’un en proie à la tentation et peut-être dans la peine. En agissant ainsi et en guidant autrui vers le Porteur de fardeaux, vous pourrez trouver pour vous-même et de façon inattendue la paix, le bonheur et la consolation.

Une vie chrétienne est un rayonnement continu de lumière, de consolation et de paix. Elle est faite de pureté, de tact, de simplicité. Animée de l’esprit du Sauveur, elle n’a pour mobile qu’un amour désintéressé. (E.G. White – Puissance de la grâce.)