Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

Vigile matinale 31 Mai

31 mai 2016

« Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre ; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas. » Proverbes 22.6

Il y a un temps pour instruire et un temps pour éduquer, et il est essentiel que l’école sache équilibrer les deux disciplines. Les enfants peuvent être entraînés au service du péché ou à celui de la justice. La première éducation des jeunes forme le caractère pour la vie du siècle aussi bien que pour la vie religieuse. Salomon dit: “Instruis l’enfant selon la voie qu’il doit suivre; et quand il sera vieux, il ne s’en détournera pas.” Proverbes 22:6. Ce langage est positif. Salomon recommande de diriger, d’éduquer, de former. Pour que les parents et les maîtres accomplissent cette œuvre, il faut qu’ils sachent eux-mêmes quelle voie l’enfant doit suivre. Cela implique autre chose qu’une simple connaissance livresque. Il s’agit de tout ce qui est bon, vertueux, juste et saint. Cela comprend la pratique de la tempérance, de la piété, de l’amour fraternel et de l’amour de Dieu. Pour atteindre ce but, il faut accorder son attention à l’éducation à la fois physique, mentale, morale et religieuse. {TE1 358.2}

L’éducation des enfants, à la maison comme à l’école, ne devrait pas ressembler au dressage des animaux. Les enfants ont une volonté consciente qui doit être entraînée à contrôler toutes leurs facultés. Les animaux subissent un dressage, car ils ne sont pas doués de raison. Mais il faut apprendre à l’esprit humain à se contrôler et à contrôler l’être tout entier, tandis que les animaux sont sous l’autorité d’un maître et sont entraînés à lui obéir. Le maître est l’esprit, le jugement et la volonté de la bête. Si un enfant était dressé à la façon des animaux, il n’aurait pas de volonté propre. Sa personnalité même serait anéantie par celle de l’homme qui l’éduque ; sa volonté, ses intentions et ses buts seraient soumis à la volonté de son maître. {TE1 359.1}

2 Rois 11

30 mai 2016
[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_11.mp3]

1 Athalie, mère d’Achazia, voyant que son fils était mort, se leva et fit périr toute la race royale.

2 Mais Joschéba, fille du roi Joram, soeur d’Achazia, prit Joas, fils d’Achazia, et l’enleva du milieu des fils du roi, quand on les fit mourir: elle le mit avec sa nourrice dans la chambre des lits. Il fut ainsi dérobé aux regards d’Athalie, et ne fut point mis à mort.

3 Il resta six ans caché avec Joschéba dans la maison de l’Eternel. Et c’était Athalie qui régnait dans le pays.

4 La septième année, Jehojada envoya chercher les chefs de centaines des Kéréthiens et des coureurs, et il les fit venir auprès de lui dans la maison de l’Eternel. Il traita alliance avec eux et les fit jurer dans la maison de l’Eternel, et il leur montra le fils du roi.

5 Puis il leur donna ses ordres, en disant: Voici ce que vous ferez. Parmi ceux de vous qui entrent en service le jour du sabbat, un tiers doit monter la garde à la maison du roi,

6 un tiers à la porte de Sur, et un tiers à la porte derrière les coureurs: vous veillerez à la garde de la maison, de manière à en empêcher l’entrée.

7 Vos deux autres divisions, tous ceux qui sortent de service le jour du sabbat feront la garde de la maison de l’Eternel auprès du roi:

8 vous entourerez le roi de toutes parts, chacun les armes à la main, et l’on donnera la mort à quiconque s’avancera dans les rangs; vous serez près du roi quand il sortira et quand il entrera.

9 Les chefs de centaines exécutèrent tous les ordres qu’avait donnés le sacrificateur Jehojada. Ils prirent chacun leurs gens, ceux qui entraient en service et ceux qui sortaient de service le jour du sabbat, et ils se rendirent vers le sacrificateur Jehojada.

10 Le sacrificateur remit aux chefs de centaines les lances et les boucliers qui provenaient du roi David, et qui se trouvaient dans la maison de l’Eternel.

11 Les coureurs, chacun les armes à la main, entourèrent le roi, en se plaçant depuis le côté droit jusqu’au côté gauche de la maison, près de l’autel et près de la maison.

12 Le sacrificateur fit avancer le fils du roi, et il mit sur lui le diadème et le témoignage. Ils l’établirent roi et l’oignirent, et frappant des mains, ils dirent: Vive le roi!

13 Athalie entendit le bruit des coureurs et du peuple, et elle vint vers le peuple à la maison de l’Eternel.

14 Elle regarda. Et voici, le roi se tenait sur l’estrade, selon l’usage; les chefs et les trompettes étaient près du roi: tout le peuple du pays était dans la joie, et l’on sonnait des trompettes. Athalie déchira ses vêtements, et cria: Conspiration! conspiration!

15 Alors le sacrificateur Jehojada donna cet ordre aux chefs de centaines, qui étaient à la tête de l’armée: Faites-la sortir en dehors des rangs, et tuez par l’épée quiconque la suivra. Car le sacrificateur avait dit: Qu’elle ne soit pas mise à mort dans la maison de l’Eternel!

16 On lui fit place, et elle se rendit à la maison du roi par le chemin de l’entrée des chevaux: c’est là qu’elle fut tuée.

17 Jehojada traita entre l’Eternel, le roi et le peuple, l’alliance par laquelle ils devaient être le peuple de l’Eternel; il établit aussi l’alliance entre le roi et le peuple.

18 Tout le peuple du pays entra dans la maison de Baal, et ils la démolirent; ils brisèrent entièrement ses autels et ses images, et ils tuèrent devant les autels Matthan, prêtre de Baal. Le sacrificateur Jehojada mit des surveillants dans la maison de l’Eternel.

19 Il prit les chefs de centaines, les Kéréthiens et les coureurs, et tout le peuple du pays; et ils firent descendre le roi de la maison de l’Eternel, et ils entrèrent dans la maison du roi par le chemin de la porte des coureurs. Et Joas s’assit sur le trône des rois.

20 Tout le peuple du pays se réjouissait, et la ville était tranquille. On avait fait mourir Athalie par l’épée dans la maison du roi.

21 Joas avait sept ans lorsqu’il devint roi.

COMMENTAIRE

Lorsque Athalie pensa qu’elle était aux commandes, son jugement fut sans appel. Ses actes contre Dieu allaient certainement entraîner une défaillance. Pensant qu’elle avait éliminé tous les prétendants au trône, sa position dans le royaume semblait assurée, mais elle n’avait pas conscience que Joas était protégé par Dieu depuis la naissance. Dieu ne laisserait pas le mal prévaloir.

D’autre part, Dieu exerce son contrôle lorsque nous sommes prêts à coopérer avec lui. À travers les siècles, Dieu a toujours eu un peuple élu. Dans l’histoire d’aujourd’hui, Jehojada était l’instrument de Dieu pour ramener le royaume à l’état de peuple élu de Dieu. Il avait une stratégie bien élaborée pour protéger Joas, et la sagesse d’en haut pour organiser le couronnement qui permettrait à Joas de reprendre le contrôle du pays.

Parfois, parce que nous croyons que Dieu a le contrôle, nous avons tendance à tout rejeter sur Lui et espérons que tout se passera parfaitement. Il est injuste à la fois pour Dieu et pour ceux qui nous entourent de ne pas planifier et de ne pas organiser. En fait, la volonté de Dieu s’accomplit bien mieux lorsque nous tenons notre rôle.

Quand le mal est renversé, il est également important de faire une alliance avec Dieu comme Jehojada la fait. Il « traita entre l’Éternel, le roi et le peuple, l’alliance par laquelle ils devaient être le peuple de l’Éternel ; il établit aussi l’alliance entre le roi et le peuple. » Les promesses terrestres peuvent souvent échouer, mais la volonté de suivre Dieu et devenir Son peuple élu est le premier pas vers la réconciliation avec Dieu.

Daniel Jiao
Union des Missions de Chine
Hong Kong

 Traduction : Mickaël Bonnefond

Vigile matinale 30 Mai

30 mai 2016

« A ceux qui sont mariés, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari. » 1 Corinthiens 7.10

Le mariage, un contrat pour la vie
Dans l’esprit des jeunes, le mariage est auréolé de romantisme ; on a du mal à le dépouiller de cet aspect dont l’imagination le revêt, et à faire comprendre tout le poids des responsabilités inhérentes aux vœux de mariage. Cet engagement unit les destinées de deux êtres par un lien que seule la mort devrait briser.

On devrait réfléchir sérieusement avant de se marier, car le mariage est un pas que l’on franchit pour la vie. Que l’homme et la femme s’interrogent avec soin pour savoir s’ils pourront rester fidèlement attachés l’un à l’autre au travers des vicissitudes de l’existence, aussi longtemps qu’ils seront tous deux en vie.

Jésus a redressé certaines idées fausses sur le mariage
Les Juifs permettaient à un homme de répudier sa femme pour les motifs les plus futiles ; après quoi, la femme pouvait se remarier. Cette coutume entraînait bien des misères et bien des péchés. Dans le Sermon sur la montagne, Jésus déclare nettement que les liens du mariage sont indissolubles, excepté en cas d’infidélité. Il dit : “Celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d’infidélité, l’expose à devenir adultère, et… celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère.”

Lorsque, plus tard, les pharisiens questionnèrent Jésus au sujet de la légitimité du, le Maître leur rappela l’institution du mariage telle qu’elle avait été fondée à la création. Il leur dit: “C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n’en était pas ainsi.” Jésus évoqua les jours bénis du jardin d’Éden où Dieu avait déclaré que “tout était très bon”. C’est alors que le mariage et le sabbat furent instaurés. Ces deux institutions fondées le même jour étaient destinées à la gloire de Dieu et au bonheur de l’humanité. Le couple saint s’étant donné la main, le Créateur dit: “L’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair”, énonçant ainsi la loi du mariage pour les enfants d’Adam jusqu’à la fin des temps. Ce que le Père éternel lui-même avait déclaré bon était pour l’homme la condition de son développement et la source de ses plus grandes bénédictions. {FC 327.1-4}

2 Rois 10

29 mai 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_10.mp3]

1 Il y avait dans Samarie soixante-dix fils d’Achab. Jéhu écrivit des lettres qu’il envoya à Samarie aux chefs de Jizreel, aux anciens, et aux gouverneurs des enfants d’Achab. Il y était dit:

2 Maintenant, quand cette lettre vous sera parvenue, -puisque vous avez avec vous les fils de votre maître, avec vous les chars et les chevaux, une ville forte et les armes, –

3 voyez lequel des fils de votre maître est le meilleur et convient le mieux, mettez-le sur le trône de son père, et combattez pour la maison de votre maître!

Vigile matinale 29 Mai

29 mai 2016

« Il leur dit : Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère à son égard ; et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère. » Marc 10.11-12

Les Juifs permettaient à un homme de répudier sa femme pour les motifs les plus futiles, et à la femme de se remarier. Cette coutume entraînait bien des misères et bien des péchés. Dans le sermon sur la montagne, Jésus déclare nettement que les liens du mariage sont indissolubles, excepté en cas d’infidélité aux vœux du mariage. Il dit : “Celui qui répudie sa femme sauf pour cause d’infidélité l’expose à devenir adultère, et… celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère.” Matthieu 5 :32. {CSAD 89.3}

Lorsque plus tard, les pharisiens questionnèrent Jésus au sujet de la légitimité du, Jésus les renvoya à l’institution du mariage, lors de la création. Il leur dit: “C’est à cause de la dureté de votre cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n’en était pas ainsi.” Matthieu 19 :8. Jésus rappela les jours bénis du jardin d’Éden où Dieu avait déclaré que “tout était bon”. C’est alors que le mariage et le sabbat furent institués. Ces deux institutions jumelles étaient destinées à la gloire de Dieu et au bien de l’humanité. En unissant le couple saint et en disant : “L’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair” (Genèse 2 :24), le Créateur énonça la loi du mariage pour les enfants d’Adam jusqu’à la fin des temps. Ce que le Père éternel lui-même avait déclaré bon était la loi assurant la plus haute bénédiction pour l’homme et son développement. — Heureux ceux qui 56. {CSAD 90.1}

2 Rois 9

28 mai 2016

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1 Elisée, le prophète, appela l’un des fils des prophètes, et lui dit: Ceins tes reins, prends avec toi cette fiole d’huile, et va à Ramoth en Galaad.

2 Quand tu y seras arrivé, vois Jéhu, fils de Josaphat, fils de Nimschi. Tu iras le faire lever du milieu de ses frères, et tu le conduiras dans une chambre retirée.

3 Tu prendras la fiole d’huile, que tu répandras sur sa tête, et tu diras: Ainsi parle l’Eternel: Je t’oins roi d’Israël! Puis tu ouvriras la porte, et tu t’enfuiras sans t’arrêter.

Vigile matinale 28 Mai

28 mai 2016

« Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité ? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part le fidèle a-t-il avec l’infidèle ? » 2 Corinthiens 6.14-15

Ne s’unir qu’à des croyants
La femme de Lot, nature égoïste et irréligieuse, avait fait beaucoup pour séparer son mari d’Abraham. N’eût été cette femme, Lot ne serait jamais resté à Sodome, privé des conseils et de la sagesse de son oncle. Sans les enseignements reçus d’Abraham dans son enfance, le contact de cette femme et de la population dépravée de cette ville l’eût sûrement fait sombrer dans l’incrédulité. Le mariage de Lot et le choix de Sodome comme résidence furent ainsi les premiers anneaux d’une chaîne d’événements funestes qui affligèrent le monde durant plusieurs générations. {CSAD 7.1}

Nulle personne craignant Dieu ne peut sans danger s’unir à un conjoint qui n’a pas cette crainte. “Deux hommes marchent-ils ensemble sans s’être mis d’accord?” Amos 3:3. Le bonheur et la prospérité dans le mariage dépendent de l’union des deux époux. Or, entre le croyant et le non-croyant, il existe une divergence radicale de goûts, d’inclinations, de projets. Ils servent deux maîtres distincts et inconciliables. Les principes du conjoint croyant ont beau être irréprochables, la vie en commun l’attirera loin de Dieu… Mais les mariages entre chrétiens et infidèles sont interdits dans la Bible. L’ordre du Seigneur est formel : “Ne vous mettez pas sous un joug étranger en vous unissant aux infidèles.”, 17, 18. — Patriarches et prophètes, 171. {CSAD 7.2}

Qu’il n’y ait pas d’alliance non sanctifiée entre les enfants de Dieu et les amis du monde, entre croyants et incroyants. Que le peuple de Dieu tienne fermement pour la vérité et la justice. — The Review and Herald, 31 juillet 1894. {CSAD 8.1}

Les jeunes chrétiens devraient apporter un soin attentif au choix de leurs amis et de leurs camarades. Prenez garde de peur que ce que vous pensez être de l’or ne se trouve être du vil métal. Les relations mondaines mettent des obstacles en travers du chemin de ceux qui veulent servir Dieu ; bien des âmes sont ruinées par des unions malheureuses, soit dans les affaires, soit dans le mariage avec des personnes qui ne peuvent exercer une influence ennoblissante. Le peuple de Dieu ne doit jamais s’aventurer sur un terrain défendu. Dieu a interdit les mariages entre croyants et non-croyants. Trop souvent cependant, le cœur inconverti suit ses désirs, et l’on contracte des mariages que Dieu ne peut approuver. — Message à la jeunesse, 434. {CSAD 8.2}

2 Rois 8

27 mai 2016
[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_08.mp3]

1 Elisée dit à la femme dont il avait fait revivre le fils: Lève-toi, va t’en, toi et ta maison, et séjourne où tu pourras; car l’Eternel appelle la famine, et même elle vient sur le pays pour sept années.

2 La femme se leva, et elle fit selon la parole de l’homme de Dieu: elle s’en alla, elle et sa maison, et séjourna sept ans au pays des Philistins.

3 Au bout des sept ans, la femme revint du pays des Philistins, et elle alla implorer le roi au sujet de sa maison et de son champ.

Vigile matinale 27 Mai

27 mai 2016

Mariage et Famille

Le mariage a été institué par Dieu en Éden. Jésus a déclaré qu’il s’agit d’une union à vie entre un homme et une femme, union caractérisée par un climat d’amour. Aux yeux du chrétien, les vœux du mariage l’engagent aussi bien vis-à-vis de Dieu que vis-à-vis de son conjoint et ne devraient être échangés qu’entre des personnes qui partagent la même foi. L’amour, l’estime, la responsabilité et le respect mutuels constituent la trame des liens conjugaux qui ont à refléter l’amour, la sainteté, l’intimité et la permanence des liens unissant le Christ à son Église. Concernant le divorce, Jésus a enseigné que la personne qui – sauf pour impudicité – se sépare de son conjoint et en épouse un autre commet un adultère. Bien que certaines relations familiales puissent ne pas atteindre l’idéal, les époux qui se dévouent l’un à l’autre en Christ peuvent néanmoins réaliser leur unité d’amour grâce à la direction du Saint-Esprit et au ministère de l’Église. Dieu bénit la famille et désire que ses membres se prêtent mutuellement assistance en vue d’atteindre une pleine maturité. Les parents doivent élever leurs enfants de manière qu’ils aiment le Seigneur et lui obéissent. Par la parole et par l’exemple, ils leur enseignent que le Christ est un maître aimant, bienveillant et attentif à nos besoins, qui souhaite les voir devenir membres de son corps et appartenir à la famille de Dieu. Le resserrement des liens familiaux est l’un des signes distinctifs du dernier message évangélique.

 : « L’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. Genèse 2.22-24

Cette compagne, Dieu la donna lui-même à Adam. Il lui fit “une aide semblable à lui”, un être qui pût vivre auprès de lui, partager ses joies et répondre à ses affections. Pour marquer qu’elle n’était pas destinée à être son chef, pas plus qu’à être traitée en inférieure, mais à se tenir à son côté comme son égale, aimée et protégée par lui, Ève fut tirée d’une de ses côtes. Os de ses os, chair de sa chair, la femme était une autre partie de lui-même, signe sensible et frappant de l’union intime et de l’attachement profond qui devaient caractériser leurs rapports. “Jamais un homme n’a haï sa propre chair; mais il la nourrit, et en prend soin.” “C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.” 2 {FC 25.3}

Dieu célèbre le premier mariage — C’est Dieu qui célébra le premier mariage. Cette institution a ainsi pour fondateur le Créateur de l’univers. “Que le mariage soit respecté.” C’est l’un des premiers dons qu’Adam emporta avec lui lorsque, après sa chute, il franchit les portes du Paradis. Quand les principes divins sont respectés, le mariage est un bienfait. Il est la sauvegarde de la pureté et du bonheur de l’homme. Il pourvoit à ses besoins sociaux, il élève sa nature physique, intellectuelle et morale.3 {FC 25.4}

Celui qui donna Ève pour compagne à Adam, accomplit son premier miracle à un repas de noces, et c’est au cours de cette fête familiale qu’il commença son ministère public. Jésus sanctionna ainsi l’institution du mariage, qu’il avait lui-même fondée. Son dessein était qu’hommes et femmes s’unissent par ces liens sacrés pour former des familles dont les membres, couronnés d’honneur, fussent reconnus comme appartenant à la famille céleste. {FC 26.1}

2 Rois 7

26 mai 2016
[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_07.mp3]

1 Elisée dit: Ecoutez la parole de l’Eternel! Ainsi parle l’Eternel: Demain, à cette heure, on aura une mesure de fleur de farine pour un sicle et deux mesures d’orge pour un sicle, à la porte de Samarie.

2 L’officier sur la main duquel s’appuyait le roi répondit à l’homme de Dieu: Quand l’Eternel ferait des fenêtres au ciel, pareille chose arriverait-elle? Et Elisée dit: Tu le verras de tes yeux; mais tu n’en mangeras point.