Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

2 Rois 3

22 mai 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_03.mp3]

1 Joram, fils d’Achab, régna sur Israël à Samarie, la dix-huitième année de Josaphat, roi de Juda. Il régna douze ans.

2 Il fit ce qui est mal aux yeux de l’Eternel, non pas toutefois comme son père et sa mère. Il renversa les statues de Baal que son père avait faites;

3 mais il se livra aux péchés de Jéroboam, fils de Nebath, qui avait fait pécher Israël, et il ne s’en détourna point.

Vigile matinale 22 Mai

22 mai 2016

« Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ. » 2 Corinthiens 10.5

Tenir son esprit en bride — tous les humains sont moralement dotés du libre arbitre, et comme tels ils devraient orienter leurs pensées dans la bonne direction. Il y a là un vaste champ dans lequel l’esprit peut s’engager sans danger. Lorsque Satan cherche à détourner l’esprit vers des choses viles et sensuelles, ramenez-le dans le droit chemin et fixez-le sur les choses éternelles. Quand le Seigneur verra les efforts sincères déployés pour garder des pensées pures, il attirera l’esprit, comme un aimant, il purifiera les pensées et les libérera de tout péché secret. « Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance au Christ. » 2 Corinthiens 10 :5. {EMS2 616.1}

Pour ceux qui désirent se réformer, le premier devoir consiste à purifier l’imagination. Si l’esprit est entraîné dans une mauvaise direction, il doit être tenu en bride et incité à s’arrêter sur des sujets purs et nobles. Lorsque vous êtes tenté de céder à une imagination corrompue, fuyez jusqu’au trône de la grâce, et priez afin de recevoir la puissance d’en haut. Par la force de Dieu, l’imagination peut être maîtrisée afin qu’elle se porte sur des thèmes purs et célestes. — Manuscrit 93. {EMS2 616.2}

2 Rois 2

21 mai 2016
[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_02.mp3]

1 Lorsque l’Eternel fit monter Elie au ciel dans un tourbillon, Elie partait de Guilgal avec Elisée.

2 Elie dit à Elisée: Reste ici, je te prie, car l’Eternel m’envoie jusqu’à Béthel. Elisée répondit: L’Eternel est vivant et ton âme est vivante! je ne te quitterai point. Et ils descendirent à Béthel.

3 Les fils des prophètes qui étaient à Béthel sortirent vers Elisée, et lui dirent: Sais-tu que l’Eternel enlève aujourd’hui ton maître au-dessus de ta tête? Et il répondit: Je le sais aussi; taisez-vous.

Vigile matinale 21 Mai

21 mai 2016

« Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. » 1 Jean 2.6

La prétendue foi en Jésus-Christ qui délie les hommes de l’obligation d’obéir à Dieu n’est pas de la foi, mais de la présomption. « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. » Mais la foi, « si elle n’a pas les œuvres, est morte en elle-même ». Éphésiens 2:8; Jacques 2:17. Avant son incarnation, Jésus disait de lui-même: « Je veux faire tes volontés, mon Dieu!, et ta loi est au fond de mon cœur. » Psaumes 40 :9. Et au moment de remonter au ciel, il faisait cette déclaration: « J’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. » Jean 15:10. « Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l’avons connu », dit l’Écriture. « Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. » 1 Jean 2:3, 6. « Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces. » 1 Pierre 2:21. {LMC 59.1}

Les conditions de la vie éternelle sont aujourd’hui ce qu’elles ont toujours été, ce qu’elles étaient au paradis avant la chute de nos premiers parents : une obéissance parfaite à la loi de Dieu, une justice parfaite. Si la vie éternelle était accordée à d’autres conditions, le bonheur de l’univers tout entier serait compromis ; le péché et tout son cortège de maux et de souffrances seraient immortalisés. {LMC 59.2}

2 Rois 1

20 mai 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/12_2rois/2roi_01.mp3]

1 Moab se révolta contre Israël, après la mort d’Achab.

2 Or Achazia tomba par le treillis de sa chambre haute à Samarie, et il en fut malade. Il fit partir des messagers, et leur dit: Allez, consultez Baal-Zebub, dieu d’Ekron, pour savoir si je guérirai de cette maladie.

3 Mais l’ange de l’Eternel dit à Elie, le Thischbite: Lève-toi, monte à la rencontre des messagers du roi de Samarie, et dis-leur: Est-ce parce qu’il n’y a point de Dieu en Israël que vous allez consulter Baal-Zebub, dieu d’Ekron?

Vigile matinale 20 Mai

20 mai 2016

L’Ethique Chrétienne

Nous sommes appelés à être un peuple saint dont les pensées, les sentiments et le comportement sont en harmonie avec les principes du ciel. Pour permettre à l’Esprit de reproduire en nous le caractère de notre Seigneur, nous ne suivons, à l’exemple du Christ, que des lignes d’action propres à favoriser la pureté, la santé et la joie dans nos vies. Ainsi, nos loisirs doivent satisfaire aux normes les plus élevées du goût et de la beauté chrétienne. Tout en tenant compte des différences culturelles, nous porterons des vêtements sobres, simples et de bon goût, adaptés à ceux dont la vraie beauté ne réside pas dans les ornements extérieurs, mais dans le charme impérissable d’un esprit doux et paisible. Par ailleurs, notre corps étant le temple du Saint-Esprit, nous devons en prendre soin intelligemment. En plus d’un exercice physique et d’un repos adéquats, nous devons adopter le régime alimentaire le plus sain possible et nous abstenir des aliments malsains mentionnés comme tels dans les Écritures. Les boissons alcoolisées, le tabac et l’usage des drogues et des narcotiques étant préjudiciables à notre corps, nous devons également nous en abstenir. En revanche, nous userons de tout ce qui est de nature à soumettre nos corps et nos pensées à l’autorité du Christ, qui désire nous voir en bonne santé, heureux et épanouis.

« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l’intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait. » Romains 12.1-2

Seule une volonté rebelle peut nous éloigner de Dieu. La volonté est la puissance qui dirige l’homme. Si elle est bien orientée, l’être tout entier est régi par elle. Elle n’est pas le résultat du goût ou de l’inclination, mais elle est le choix, le pouvoir déterminant, la puissance souveraine qui agit chez les enfants des hommes pour qu’ils obéissent ou qu’ils désobéissent. {AD 335.2}

Tant que vous ne comprendrez pas le véritable pouvoir de la volonté, vous serez dans un péril constant. […] Vous pouvez croire et promettre toutes sortes de choses, mais vos promesses et votre foi n’ont aucune valeur tant que votre volonté n’est pas bien orientée. Si vous combattez le combat de la foi avec elle, nul doute que vous ne remportiez la victoire. {AD 335.3}

Il faut qu’à votre tour vous placiez votre volonté du côté du Christ. Quand vous soumettez votre volonté à la sienne, le Sauveur s’empare de vous et il produit le vouloir et le faire selon son bon plaisir. Votre nature est placée sous le contrôle de son esprit. Vos pensées elles-mêmes lui sont assujetties. Si vous ne pouvez pas dominer vos impulsions, vos sentiments selon vos désirs, vous pouvez dominer votre volonté et ainsi s’opérera en vous un changement total de vie. Quand vous vous abandonnez au Christ, votre vie est cachée avec lui en Dieu. Elle est unie au pouvoir qui domine toutes les principautés et toutes les dominations.

Vous avez une force qui émane de Dieu et qui s’empare de sa force; et une nouvelle vie, la vie de la foi, est alors possible pour vous. Vous ne réussirez jamais à vous élever si votre volonté n’est pas du côté du Christ et si elle ne coopère pas avec l’Esprit de Dieu. Ne déclarez pas que vous ne pouvez pas réussir, mais dites : « Je veux. Je peux. » Et Dieu a promis que son Saint-Esprit vous viendrait en aide chaque fois que vous vous efforceriez de remporter la victoire.25 {AD 335.4-5}.

1 Rois 22

19 mai 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/11_1rois/1roi_22.mp3]

1 On resta trois ans sans qu’il y eût guerre entre la Syrie et Israël.

2 La troisième année, Josaphat, roi de Juda, descendit auprès du roi d’Israël.

3 Le roi d’Israël dit à ses serviteurs: Savez-vous que Ramoth en Galaad est à nous? Et nous ne nous inquiétons pas de la reprendre des mains du roi de Syrie!

Explication en profondeur sur La Gestion chrétienne de la Vie

19 mai 2016

TROIS CONCEPTS DE BASE DE L’ÉCONOMAT

1-Une relation d’amour

Dieu/humanité, propriétaire/gérant, économe, tous ces termes résument le principe de l’économat traditionnel et biblique. Cependant, les écritures nous offrent un autre modèle :Jésus-Christ, l’intendant de son Père.

Les membres de la Trinité s’associent, décident et agissent de concert, comme nous le voyons dans le récit de création, par exemple : «Faisons…» (Genèse 1.26 ; voir Matthieu 3.13-17 ; 28.18, 19 ; Jean 10.14-18 ; 11.41, 42 ; 14.8, 9 ; 16.13-15). Ils nous présentent là un modèle d’amour relationnel. Ensemble, et individuellement, ils sont Dieu.

Les écritures identifient Jésus comme étant l’expression du Père, «l’image du Dieu invisible.» (Colossiens 1.15-17; voir Jean 1.1-3.), qui s’est fait chair pour nous exprimer l’essence même du Père (Jean 3.16-17; 5.30 ; 17.3, 23-26). «Leur interdépendance révèle leur amour, et l’amour présuppose que l’on se centre.» –WimAltink, «Six leçons de la Trinité», Le monde adventiste (éd.nord-américaine), octobre 2005, p.34.

En tant qu’économe en chef de son Père, le Christ a manifesté le caractère de celui-ci devant l’univers par sa vie sans péché et sa mort sur la croix (Philippiens 2.5-11 ; Jean 10.17, 18 ; 1 Corinthiens 3.21-23). Quand il parle du Saint-Esprit, il le désigne comme un « autre consolateur » (Jean 14.16, 26 ; grec Parakletos-consolateur -voir aussi Jean 16.13-15 ; 1 Corinthiens 3.21-23.), un agent divin qui nous convainc d’être des économes des dons et des capacités que Dieu nous a confiées (Jean 10.27 ; 17.20-23; Romains 8.14, 16-17 ; 2 Corinthiens 5.14, 15, 17-21).

2-Les mobiles

-en fait, dans l’administration divine, l’amour précède le devoir et l’obéissance, et il est la seule motivation acceptable pour donner.

Dieu nous a créés parce qu’il voulait établir une relation d’amour avec la famille humaine. IL nous réclame comme sa possession en vertu de son œuvre rédemptrice (Ésaïe 40.25-31 ; 42.5-7 ; 43.1-3, 11, 15). L’amour est la raison d’être de l’action divine (Jean 3.16), et il devrait être la réponse appropriée à l’acte salvateur de Dieu (Deutéronome7.7, 8 ; 10.12, 13 ; 30.6, 15,16, 19, 20 ; Matthieu 22.37-39). En fait, dans l’administration divine, l’amour précède le devoir et l’obéissance (Jean 14.15), et il est la seule motivation acceptable pour donner (1 Corinthiens 13.3).

Les lois administratives et fiscales requièrent que les fonds que nous versons à n’importe quel organisme ou projet caritatif soient gérés avec rigueur et discipline. Leurs exigences est la même quand il s’agit de dîmes, des offrandes ou de dons importants laissés à des associations humanitaires sous forme de legs ou d’héritage. À cause de cela, beaucoup considèrent qu’il n y a pas de différence entre donner à Dieu (et à sa cause) et faire un don à n’importe quel organisme de charité public de leur choix. Ils semblent oublier que donner à Dieu est un acte d’adoration individuelle, qui renforce notre relation avec lui (voir conseil à l’économe, p.16)

3-Le caractère.

Donner fait appel à l’amour, à la foi et à la confiance en Dieu, celle qui croit en un Dieu capable de calmer l’orage et d’apporter la paix au milieu de la tempête. Donner exige de croire que les promesses divines sont vraies, que l’on ne manquera de rien parce que le Dieu infini, omnipotent, est capable de prendre soin de ses enfants. Non, les donateurs ne seront pas privés de ressources dans leur vie quotidienne à cause de leurs dons généreux

(Psaumes 1.91 ; 125.1; Ésaïe 26.3, 4. Malachie 3.10, 11 ; Philémon 4.19 ; 1 Pierre 5.7). Bien au contraire : le Seigneur a le pouvoir d’accroître celles-ci au-delà de tout ce que l’on peut imaginer (Deutéronome 29.5).

Le fait de donner construit notre caractère, en nous amenant à organiser notre vie et nos finances, et à développer des habitudes de libéralité systématique. C’est un test de fidélité qui atteint son point culminant lorsque nous apportons nos fonds à l’église*. «La part de nos revenus qu’il s’est réservée ne doit servir à aucun autre but qu’à celui qu’il a désigné lui-même. Que personne ne prenne la liberté de retenir la dîme pour l’employer selon son propre jugement. Il ne faut en aucun cas l’utiliser pour soi-même ni lui donner une destination que l’on juge convenable, même dans ce que l’on considère comme faisant partie de l’œuvre du Seigneur.» (Conseil à l’économe, p.106. Voir aussi Lévitique 17.1-9 ; Deutéronome 12.1-8 ; Néhémie 10.38 ; Éphésiens 3.11)

Nous sommes des économes de Dieu, le Seigneur nous ayant confié du temps, des occasions, des aptitudes, des possessions, les biens de la terre et les ressources du sol. Nous sommes responsables devant lui de leur bon usage. Nous reconnaissant ses droits de propriété en le servant fidèlement, ainsi que nos semblables, en lui rendant les dîmes et en lui apportant les offrandes, pour la proclamation de l’Évangile, le soutien et le développement de son église.

Une gestion de la vie chrétienne est un privilège que Dieu nous accorde afin de nous faire grandir dans l’amour et de nous aider à vaincre l’égoïsme et la convoitise. Le bon économe se réjouit des bénédictions accordées à ses semblables comme fruits de sa fidèle gestion.

Avoir confiance en Dieu nous prépare à affronter la tribulation et la mort, et approfondit le sens de l’éternité dans notre vie. (Ecclésiaste 3.11).

Vigile matinale 19 Mai

19 mai 2016

« Car la Macédoine et l’Achaïe ont bien voulu s’imposer une contribution en faveur des pauvres parmi les saints de Jérusalem. Elles l’ont bien voulu, et elles le leur devaient ; car si les païens ont eu part à leurs avantages spirituels, ils doivent aussi les assister dans les choses temporelles. » Romains 15.26-27

C’est par esprit de cupidité que les hommes sont poussés à garder pour leur propre plaisir les biens qui reviennent de droit au Seigneur. Or cet esprit lui est en abomination, aussi bien de nos jours qu’à l’époque où il censurait sévèrement, par la voix des prophètes, la conduite du peuple israélite : Il s’écriait alors : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez, et vous dites : en quoi t’avons-nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Vous êtes frappés par la malédiction, et vous me trompez, la nation tout entière ! » 7 {CP 300.2}.

L’esprit de générosité est au contraire d’essence divine. C’est dans le sacrifice du Christ sur la croix que cet esprit s’est manifesté à son plus haut degré. Le Père céleste a donné son Fils unique pour nous. Après avoir tout quitté, le Christ s’offrit lui-même, afin de sauver les pécheurs. La croix du Calvaire devrait donc être, pour tout chrétien, une invitation à la générosité. Le principe qui s’en dégage est celui de donner, donner encore. « Celui qui dit qu’il demeure en lui, dit saint Jean, doit marcher aussi comme il a marché lui-même. » 8 {CP 300.3}.

Par contre, l’esprit d’égoïsme est l’esprit même de Satan. Les mondains se caractérisent par leur soif d’amasser, d’amasser toujours. Ils espèrent s’assurer ainsi le bonheur et la vie facile, mais tout cela ne produit que misère et que mort. {CP 301.1}

Les intarissables bénédictions de Dieu nous engagent à lui donner en retour la part des biens qu’il nous réclame. Non seulement nous devons lui offrir ce qui lui revient, mais il faut que nous apportions aussi dans son trésor un signe de gratitude, de généreux tributs. Que les enfants de Dieu consacrent donc à leur Créateur, d’un cœur joyeux, les prémices de leurs revenus, la quintessence de leurs richesses, ainsi que leurs services les plus désintéressés et les plus fidèles. Ils recevront de cette manière les plus riches bénédictions. Dieu rendra leur âme semblable à un jardin arrosé, où les eaux ne manqueront jamais. Et lorsque la grande moisson aura lieu, les gerbes qu’ils apporteront à leur Maître représenteront leur propre récompense. Elles seront le prix de l’emploi désintéressé qu’ils auront fait des talents qui leur avaient été remis. {CP 301.2}

1 Rois 21

18 mai 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/11_1rois/1roi_21.mp3]

1 Après ces choses, voici ce qui arriva. Naboth, de Jizreel, avait une vigne à Jizreel, à côté du palais d’Achab, roi de Samarie.

2 Et Achab parla ainsi à Naboth: Cède-moi ta vigne, pour que j’en fasse un jardin potager, car elle est tout près de ma maison. Je te donnerai à la place une vigne meilleure; ou, si cela te convient, je te paierai la valeur en argent.

3 Mais Naboth répondit à Achab: Que l’Eternel me garde de te donner l’héritage de mes pères!