1Lorsque vous partagerez le pays en héritage par le sort, vous prélèverez comme une sainte offrande pour l’Eternel une portion du pays, longue de vingt-cinq mille cannes et large de dix mille; elle sera sainte dans toute son étendue.
2De cette portion vous prendrez pour le sanctuaire cinq cents cannes sur cinq cents en carré, et cinquante coudées pour un espace libre tout autour.
3Sur cette étendue de vingt-cinq mille cannes en longueur et dix mille en largeur, tu mesureras un emplacement pour le sanctuaire, pour le lieu très saint.
Composé de membres du clergé, de curieux, et d’hommes munis de pics et de pelles, le petit groupe ressemblait, à première vue, à n’importe quel cortège funèbre. Une seule chose manquait, toutefois – un cercueil et sa dépouille.
« Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils, lequel crie : Abba Père ! Ainsi tu n’es plus esclave, mais fils ; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu. » Galates 4 : 6- 7
L’apôtre Paul rappelle ces quatre vérités :
Vous êtes fils de Dieu.
Parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l’Esprit de son Fils, le Consolateur.
L’esclavage est terminé, il y a changement de statut pour moi.
L’esclave a-t-il les mêmes privilèges que le fils du maître ? Non. L’esclave ne peut pas hériter de son maître ; le fils est l’héritier du maître.
Le fils devient héritier par grâce, non par ses mérites ; tout est déjà là, il n’a pas à travailler pour. Le Père, dans sa bonté et son amour, le lui donne.
Arrêtons-nous sur l’étape n°2. Souvent, dans nos prières nous réclamons, nous demandons le Saint-Esprit. Permets-moi de te dire que si tu as cette assurance d’être fils ou fille de Dieu, alors tu possèdes le Saint-Esprit en toi. Dieu y a veillé.
Maintenant, Il ne s’agit pas de dire : J’ai le Saint-Esprit et c’est tout.
Notons 3 cas possibles :
1/ Nous laissons le « Moi » dominer et le Saint-Esprit, notre compagnon, notre consolateur, se retire peu à peu jusqu’à disparaitre. Si dans un couple, chaque fois que la femme veut donner son avis ou signaler à son mari que quelque chose ne va pas, ce dernier l’oblige à se taire et qu’elle n’a droit à la parole que pour lui dire des choses qui l’arrangent et lui plaisent, alors au bout d’un moment, cette femme n’acceptera plus ce traitement, commencera par se taire, puis au moment où le mari ne s’y attendra pas, il n’y aura plus personne ! C’est ainsi que le Saint-Esprit est traité dans ce premier cas.
2/ Le Saint-Esprit stagne en nous. Nous ne reculons pas, mais nous n’avançons pas non plus. Nous aimons Dieu et souhaitons faire sa volonté. Nous voulons être sauvés, faisons du bien autour de nous, demandons pardon quand nous avons offensé ou délaissons certaines mauvaises habitudes puisque le Saint-Esprit parle à notre conscience et nous pousse donc à faire toutes ces actions. Ensuite, avec notre bonne conscience, nous reprenons notre train-train de vie quotidien. Nous devenons des PYGMÉES SPIRITUELS
3/ Nous devenons des adultes voire des GÉANTS SPIRITUELS. Permettez-moi de dire que lorsque nous atteignons ce stade, nous sommes les personnes les plus humbles qui soient, nous nous sentons de plus en plus misérables et dépendant de Dieu à tel point qu’il est vital pour nous de baigner en sa présence, de nous rapprocher toujours plus de Lui, un peu plus chaque jour. Nous nous rendons compte que la tâche est si grande, tant de personnes souffrent, que cela nous dérange, nous fait souffrir et nous pousse à nous interroger :
– Est-ce que mon comportement, mes motivations, mes paroles ont servi au bien-être de l’autre ? Ais-je agi par amour ? Lequel de ces 3 cas correspond à notre situation ?
1Il me conduisit à la porte, à la porte qui était du côté de l’orient.
2Et voici, la gloire du Dieu d’Israël s’avançait de l’orient. Sa voix était pareille au bruit des grandes eaux, et la terre resplendissait de sa gloire.
3Cette vision était semblable à celle que j’avais eue lorsque j’étais venu pour détruire la ville; et ces visions étaient semblables à celle que j’avais eue près du fleuve du Kebar. Et je tombai sur ma face.
Les hommes sont tentés de rejeter la doctrine de la création. «Qui se soucie de savoir comment Dieu créa la terre ?», disent-ils. «Ce qui importe, c’est de savoir comment aller au ciel.» Pourtant, la doctrine de la création constitue «le fondement indispensable de la théologie chrétienne et biblique [4]». Un certain nombre de concepts bibliques fondamentaux s’enracinent dans la création [5]. En effet, savoir comment Dieu créa «les cieux et la terre» peut aider celui qui cherche le chemin des nouveaux cieux et de la nouvelle terre dont parle Jean dans l’Apocalypse. Quelles sont donc quelques unes des implications de la doctrine de la création ?
La femme samaritaine lui dit : Comment toi, qui es Juif, me demandes-tu à boire, à moi qui suis une femme samaritaine ? -Les Juifs, en effet, n’ont pas de relations avec les Samaritains. Jean 4 : 9
Le 09 Novembre 1989 eut lieu un évènement qui réjouit une bonne partie de la population du monde, en particulier tous ceux travaillant pour la réconciliation des peuples et la paix dans le monde. Ce jour-là, le mur de Berlin, qui séparait l’Allemagne en deux, fut ouvert. Ce fut l’occasion pour des milliers de personnes de participer à la destruction de ce « mur de la honte » qui séparait des familles, des amis qui habitaient d’un côté ou de l’autre de ce mur.
1Il me conduisit dans le temple. Il mesura les poteaux; il y avait six coudées de largeur d’un côté, et six coudées de largeur de l’autre, largeur de la tente.
2La largeur de la porte était de dix coudées; il y avait cinq coudées d’un côté de la porte, et cinq coudées de l’autre. Il mesura la longueur du temple, quarante coudées, et la largeur, vingt coudées.
3Puis il entra dans l’intérieur. Il mesura les poteaux de la porte, deux coudées, la porte, six coudées, et la largeur de la porte, sept coudées.
1La vingt-cinquième année de notre captivité, au commencement de l’année, le dixième jour du mois, quatorze ans après la ruine de la ville, en ce même jour, la main de l’Eternel fut sur moi, et il me transporta
2dans le pays d’Israël. Il m’y transporta, dans des visions divines, et me déposa sur une montagne très élevée, où se trouvait au midi comme une ville construite.
3Il me conduisit là; et voici, il y avait un homme dont l’aspect était comme l’aspect de l’airain; il avait dans la main un cordeau de lin et une canne pour mesurer, et il se tenait à la porte.
4Cet homme me dit: Fils de l’homme, regarde de tes yeux, et écoute de tes oreilles! Applique ton attention à toutes les choses que je te montrerai, car tu as été amené ici afin que je te les montre. Fais connaître à la maison d’Israël tout ce que tu verras.
5Voici, un mur extérieur entourait la maison de tous côtés. Dans la main de l’homme était une canne de six coudées pour mesurer, chaque coudée ayant un palme de plus que la coudée ordinaire. Il mesura la largeur du mur, qui était d’une canne, et la hauteur, qui était d’une canne.
6Il alla vers la porte orientale, et il en monta les degrés. Il mesura le seuil de la porte, qui avait une canne en largeur, et l’autre seuil, qui avait une canne en largeur.
7Chaque chambre était longue d’une canne, et large d’une canne. Il y avait entre les chambres un espace de cinq coudées. Le seuil de la porte, près du vestibule de la porte, à l’intérieur, avait une canne.
8Il mesura le vestibule de la porte, à l’intérieur; il avait une canne.
9Il mesura le vestibule de la porte; il avait huit coudées, et ses poteaux en avaient deux; le vestibule de la porte était en dedans.
10Les chambres de la porte orientale étaient au nombre de trois d’un côté et de trois de l’autre; toutes les trois avaient la même mesure, et les poteaux de chaque côté avaient aussi la même mesure.
11Il mesura la largeur de l’ouverture de la porte, qui était de dix coudées, et la hauteur de la porte, qui était de treize coudées.
12Il y avait devant les chambres un espace d’une coudée de chaque côté et d’autre; chaque chambre avait six coudées d’un côté, et six coudées de l’autre.
13Il mesura la porte depuis le toit d’une chambre jusqu’au toit de l’autre; il y avait une largeur de vingt-cinq coudées entre les deux ouvertures opposées.
14Il compta soixante coudées pour les poteaux, près desquels était une cour, autour de la porte.
15L’espace entre la porte d’entrée et le vestibule de la porte intérieure était de cinquante coudées.
16Il y avait des fenêtres grillées aux chambres et à leurs poteaux à l’intérieur de la porte tout autour; il y avait aussi des fenêtres dans les vestibules tout autour intérieurement; des palmes étaient sculptées sur les poteaux.
17Il me conduisit dans le parvis extérieur, où se trouvaient des chambres et un pavé tout autour; il y avait trente chambres sur ce pavé.
18Le pavé était au côté des portes, et répondait à la longueur des portes; c’était le pavé inférieur.
19Il mesura la largeur depuis la porte d’en bas jusqu’au parvis intérieur en dehors; il y avait cent coudées, à l’orient et au septentrion.
20Il mesura la longueur et la largeur de la porte septentrionale du parvis extérieur.
21Ses chambres, au nombre de trois d’un côté et de trois de l’autre, ses poteaux et ses vestibules, avaient la même mesure que la première porte, cinquante coudées en longueur et vingt-cinq coudées en largeur.
22Ses fenêtres, son vestibule, ses palmes, avaient la même mesure que la porte orientale; on y montait par sept degrés, devant lesquels était son vestibule.
23Il y avait une porte au parvis intérieur, vis-à-vis de la porte septentrionale et vis-à-vis de la porte orientale; il mesura d’une porte à l’autre cent coudées.
24Il me conduisit du côté du midi, où se trouvait la porte méridionale. Il en mesura les poteaux et les vestibules, qui avaient la même mesure.
25Cette porte et ses vestibules avaient des fenêtres tout autour, comme les autres fenêtres, cinquante coudées en longueur et vingt-cinq coudées en largeur.
26On y montait par sept degrés, devant lesquels était son vestibule; il y avait de chaque côté des palmes sur ses poteaux.
27Le parvis intérieur avait une porte du côté du midi; il mesura d’une porte à l’autre au midi cent coudées.
28Il me conduisit dans le parvis intérieur, par la porte du midi. Il mesura la porte du midi, qui avait la même mesure.
29Ses chambres, ses poteaux et ses vestibules, avaient la même mesure. Cette porte et ses vestibules avaient des fenêtres tout autour, cinquante coudées en longueur et vingt-cinq coudées en largeur.
30Il y avait tout autour des vestibules de vingt-cinq coudées de longueur et de cinq de largeur.
31Les vestibules de la porte aboutissaient au parvis extérieur; il y avait des palmes sur ses poteaux, et huit degrés pour y monter.
32Il me conduisit dans le parvis intérieur, par l’entrée orientale. Il mesura la porte, qui avait la même mesure.
33Ses chambres, ses poteaux et ses vestibules, avaient la même mesure. Cette porte et ses vestibules avaient des fenêtres tout autour, cinquante coudées en longueur et vingt-cinq coudées en largeur.
34Ses vestibules aboutissaient au parvis extérieur; il y avait de chaque côté des palmes sur ses poteaux, et huit degrés pour y monter.
35Il me conduisit vers la porte septentrionale. Il la mesura, et trouva la même mesure,
36ainsi qu’à ses chambres, à ses poteaux et à ses vestibules; elle avait des fenêtres tout autour; cinquante coudées en longueur et vingt-cinq coudées en largeur.
37Ses vestibules aboutissaient au parvis extérieur; il y avait de chaque côté des palmes sur ses poteaux, et huit degrés pour y monter.
38Il y avait une chambre qui s’ouvrait vers les poteaux des portes, et où l’on devait laver les holocaustes.
39Dans le vestibule de la porte se trouvaient de chaque côté deux tables, sur lesquelles on devait égorger l’holocauste, le sacrifice d’expiation et le sacrifice de culpabilité.
40A l’un des côtés extérieurs par où l’on montait, à l’entrée de la porte septentrionale, il y avait deux tables; et à l’autre côté, vers le vestibule de la porte, il y avait deux tables.
41Il se trouvait ainsi, aux côtés de la porte, quatre tables d’une part et quatre tables de l’autre, en tout huit tables, sur lesquelles on devait égorger les victimes.
42Il y avait encore pour les holocaustes quatre tables en pierres de taille, longues d’une coudée et demie, larges d’une coudée et demie, et hautes d’une coudée; on devait mettre sur ces tables les instruments avec lesquels on égorgeait les victimes pour les holocaustes et pour les autres sacrifices.
43Des rebords de quatre doigts étaient adaptés à la maison tout autour; et la chair des sacrifices devait être mise sur les tables.
44En dehors de la porte intérieure il y avait des chambres pour les chantres, dans le parvis intérieur: l’une était à côté de la porte septentrionale et avait la face au midi, l’autre était à côté de la porte orientale et avait la face au septentrion.
45Il me dit: Cette chambre, dont la face est au midi, est pour les sacrificateurs qui ont la garde de la maison;
46et la chambre dont la face est au septentrion est pour les sacrificateurs qui ont la garde de l’autel. Ce sont les fils de Tsadok, qui, parmi les fils de Lévi, s’approchent de l’Eternel pour le servir.
47Il mesura le parvis, qui avait cent coudées de longueur et cent coudées de largeur, en carré. L’autel était devant la maison.
48Il me conduisit dans le vestibule de la maison. Il mesura les poteaux du vestibule, et trouva cinq coudées d’un côté et cinq coudées de l’autre. La largeur de la porte était de trois coudées d’un côté et de trois coudées de l’autre.
49Le vestibule avait une longueur de vingt coudées et une largeur de onze coudées; on y montait par des degrés. Il y avait des colonnes près des poteaux, l’une d’un côté, et l’autre de l’autre.
COMMENTAIRE
Le chapitre 40 commence la partie du livre d’Ézéchiel qui décrit en détail les constructions et les services du Temple renouvelé et une disposition de la nouvelle ville et la terre d’un Israël rétabli.
Comme la vision commence dans le chapitre 40, plusieurs questions clés d’introduction sont mentionnées. La vision vient sur le Jour du Pardon (le 22 octobre, 573 av. J.-C), qui est près de la fin du ministère d’Ézéchiel. Ce jour-là, selon des traditions juives, le sanctuaire était purifié. À part la purification du sanctuaire, une vision puissante du nouveau Temple rétabli et amélioré est donnée. La vision a lieu sur une haute montagne qui se réfère au Mont Sinaï où la loi et le modèle de la tente à l’origine ont été donnés. Ce fut Moïse, un précédent prophète, qui a parlé au nom de Dieu et maintenant Dieu suit un modèle semblable avec Ézéchiel.
Quand Ézéchiel reçoit la vision, il est pressé de porter plus d’attention et fixer son esprit sur les détails de la vision parce que sa tâche est de rapporter tout ce qu’il voit au peuple d’Israël. Captif à Babylone et loin de leur bien-aimé Jérusalem et du Temple, le peuple d’Israël a besoin d’être inspiré par l’espoir. Ils ont besoin d’entendre et de voir cette image vive de ce que Dieu veut faire dans l’avenir pour eux.
Lorsque nous regardons notre propre situation dans le monde nous devons laisser Dieu nous inspirer avec sa vision d’un nouveau ciel et une nouvelle terre qu’Il a en réserve pour nous.
Nous faisons donc les fonctions d’ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 2 Corinthiens 5 : 20
Après des années d’attente, le Seigneur me donna mon premier travail. Je pensais que tout irait pour le mieux puisque cela venait de Dieu. De plus, j’étais généralement appréciée de tout le monde, les premiers contacts se passaient pour le mieux, alors aucune inquiétude à avoir. Mais ne voilà-t-il pas que je tombai sur un os !