Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

1 Chroniques 10

24 juin 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/13_1chroniques/1chr_10.mp3]

1 Les Philistins livrèrent bataille à Israël, et les hommes d’Israël prirent la fuite devant les Philistins et tombèrent morts sur la montagne de Guilboa.

2 Les Philistins poursuivirent Saül et ses fils, et tuèrent Jonathan, Abinadab et Malki-Schua, fils de Saül.

3 L’effort du combat porta sur Saül; les archers l’atteignirent et le blessèrent.

Vigile matinale 24 Juin

24 juin 2016

Les Mille Ans et la Fin du Péché

Le millénium est le règne du Christ avec ses élus, dans le ciel, règne qui durera mille ans. Il se situe entre la première et la deuxième résurrection. Pendant cette période, les réprouvés morts seront jugés. La terre sera totalement déserte ; elle ne comptera pas un seul être humain vivant, mais sera occupée par Satan et ses anges. Lorsque les mille ans seront écoulés, le Christ, accompagné de ses élus, descendra du ciel sur la terre avec la sainte cité. Les réprouvés morts seront alors ressuscités, et, avec Satan et ses anges, ils tenteront d’investir la cité ; mais un feu venant de Dieu les consumera et purifiera la terre. Ainsi, l’univers sera libéré à jamais du péché et des pécheurs.

« Puis je vis descendre du ciel un ange, qui avait la clef de l’abîme et une grande chaîne dans sa main. Il saisit le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan, et il le lia pour mille ans. Apocalypse 20.1-2

Pendant six mille ans, Satan a fait trembler la terre. Il a réduit le monde en un désert et en a détruit les villes, ne relâchant jamais ses prisonniers. Pendant six mille ans, sa prison a reçu les enfants de Dieu, et il les retiendrait captifs à jamais si Jésus-Christ n’avait pas rompu leurs chaînes et ne leur avait rendu la liberté.

Les méchants eux-mêmes sont maintenant à l’abri des entreprises de l’adversaire. Seul avec ses mauvais anges, Satan peut constater les effets de la malédiction du péché. « Tous les rois des nations, oui, tous, reposent avec honneur, chacun dans son tombeau. Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre, comme un rameau qu’on dédaigne. […] Tu n’es pas réuni à eux dans le sépulcre, car tu as détruit ton pays, tu as fait périr ton peuple ! » Ésaïe 14:18-20.

Pendant mille ans, parcourant la terre en tous sens, Satan pourra y constater les conséquences de sa révolte contre la loi de Dieu. Durant ce temps, sa souffrance est cuisante. Depuis la chute, son activité dévorante ne lui a jamais laissé le loisir de la réflexion. Maintenant, privé de sa puissance, il peut envisager le rôle qu’il a joué depuis le début de sa rébellion contre le gouvernement du ciel, et attendre avec effroi le jour où il devra souffrir pour tout le mal dont il est l’auteur.

La captivité de Satan sera pour le peuple de Dieu un sujet de joie et d’allégresse. Le prophète écrit : « Quand l’Éternel t’aura donné du repos, après tes fatigues et tes agitations, et après la dure servitude qui te fut imposée, alors tu prononceras ce chant sur le roi de Babylone [qui représente ici Satan], et tu diras : eh quoi ! Le tyran n’est plus ! L’oppression a cessé ! L’Éternel a brisé le bâton des méchants, la verge des dominateurs. Celui qui dans sa fureur frappait les peuples, par des coups sans relâche, celui qui dans sa colère subjuguait les nations, est poursuivi sans ménagement. » Ésaïe 14:3-6. {PFC 327.1-4}

1 Chroniques 9

23 juin 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/13_1chroniques/1chr_09.mp3]

1 Tout Israël est enregistré dans les généalogies et inscrit dans le livre des rois d’Israël. Et Juda fut emmené captif à Babylone, à cause de ses infidélités.

2 Les premiers habitants qui demeuraient dans leurs possessions, dans leurs villes, étaient les Israélites, les sacrificateurs, les Lévites, et les Néthiniens.

3 A Jérusalem habitaient des fils de Juda, des fils de Benjamin, et des fils d’Ephraïm et de Manassé. –

Explication en profondeur sur la Mort et la Résurrection :

23 juin 2016

L’enseignement biblique concernant la résurrection et l’état des morts est une source d’encouragement et de consolation. Dans les moments de douleurs, nous n’avons pas à être tristes « comme les autres qui n’ont point d’espérance » (1 Thessaloniciens 4.13). La raison de notre espérance est en Christ, qui a dit : « Parce que je vis, et que vous vivrez aussi » (Jean 14.19).

En tant qu’adventistes, nous avons une compréhension particulière de ce qu’il advient d’une personne quand elle meurt, pendant qu’elle repose dans la tombe et jusqu’à la résurrection — compréhension qui nous distingue de la majorité des chrétiens. Nous parlons de la résurrection d’une personne. Nous croyons en l’unité de la personne et à l’impossibilité d’une existence consciente en dehors du corps. Il n’y a aucune base biblique en faveur de l’idée selon laquelle, à la résurrection, il y aurait réunion du corps avec une âme dont il aurait été séparé au moment de la mort. Dans les écritures, les mots hébreux et grecs traduits par « âme », représente fondamentalement la personne elle-même, et non une partie d’elle consciente et vivant éternellement, capable d’exister sans le corps.

Au moment de la mort, la personne cesse d’être consciente (Psaumes 146.4). Le corps se désintègre et devient comme de la poussière de la terre (Ecclésiaste 3.20).

Les morts n’existent pas d’une manière consciente dans le ciel ou dans l’enfer. Pour employer une métaphore, ils dorment (Jean 11.11 ; Thessaloniciens 4.14). À la résurrection, ils sortiront de leur tombe où, la notion du temps n’existant plus, leur attente ne leur aura semblé durer qu’un moment.

C’est encore une preuve d’amour et de miséricorde de Dieu, car si les « âmes » étaient enlevées au ciel au moment de leur mort, comment pourraient-elles jouir pleinement du bonheur céleste en voyant l’affliction et la souffrance de leurs bien-aimés sur la terre ?

Toutefois, si la bible n’enseigne rien à propos d’une âme consciente ou d’une éventuelle survie de l’esprit après la mort du corps, elle a beaucoup à dire au sujet de la vie après la mort. Elle explique que la vie sera redonnée à tous, aux justes comme aux impies, mais elle décrit un avenir complètement différent pour chacun de ces groupes (Jean 5.28, 29). Après un repos dans la poussière, les morts ressusciteront pour recevoir les conséquences des choix qu’ils auront faits au cours de leur vie terrestre : l’immortalité pour ceux qui auront accepté la vie éternelle offerte par le Christ (Jean 3.16) et la séparation éternelle pour ceux qui auront rejeté cette offre — car ils n’auront pas laissé à Dieu d’autre option que de les abandonner ; ils ne pourront continuer à recevoir la vie du Seigneur ni l’obtenir d’aucune autre source, car, par amour pour ses enfants rachetés, Dieu ne peut permettre que l’égoïsme et le péché subsistent dans son univers parfait.

Lors du retour du Christ, les saints de tous les temps recevront en même temps leur héritage (1 Thessaloniciens 4.16, 17). En ce jour de résurrection, chacun d’eux deviendra une nouvelle créature. Il leur sera donné un nouveau corps, mais chacun reconnaîtra ses amis et sera reconnu par eux. Ceux qui marcheront dans les rues du ciel seront les mêmes qui auront vécu sur la terre et seront passés par l’expérience qui les a transformés. Il est réconfortant de savoir que Dieu conservera le caractère et la personnalité de ses enfants, et qu’à la résurrection il les restaurera avec leurs traits particuliers et distinctifs.

Comme d’autres, les adventistes considèrent que la mort est un ennemi, mais elle ne les terrorise pas. Nous pouvons l’affronter avec confiance, nous en remettant au Père aimant et à Jésus, notre Grand Frère, dont la victoire sur la tombe peut-être aussi la nôtre, par la foi.

Un adventiste ayant appris récemment qu’il était atteint d’une maladie incurable illustra cette sorte de confiance en écrivant ainsi à un ami intime de la famille :

« Mardi après-midi […], le diagnostic d’origine […] a été confirmé. Comme tu peux te l’imaginer, il a été très difficile à accepter, mais tout ira bien, je le sais. Dieu peut encore faire des miracles. Ce soir-là, ma femme et moi avons eu une grande conversation, et nous avons vraiment abordé ce sujet pour la première fois ensemble. Parfois je pense que le Seigneur met à l’épreuve la ferveur de nos prières et retarde la réponse pour que notre foi soit éprouvée. Peu importe ce qui arrive, il ne nous reste plus beaucoup de temps sur cette terre. Nous avons alors pensé que nous pourrions faire comme si c’était un père qui disait à son petit garçon : « Il est l’heure d’aller au lit ». L’enfant protesterait et voudrait rester debout encore un petit moment. Mais son père lui dirait probablement : « Fiston, demain sera un jour meilleur, un jour où tu pourras faire toutes les choses que tu veux tellement faire. »

« Si c’est ce que Dieu est en train de me dire, pourquoi devrais-je remettre en question sa sagesse ? »

–pour aller plus loin : 1 Timothée 6.15 ; Romains 6.23 ; 1 Corinthiens 15.51-54 ; Ecclésiaste 9.5 ; Romains 8.35-39 ; Apocalypse 20.1-10 ; Jean 5.24.

Vigile matinale 23 Juin

23 juin 2016

« Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ; » Jean 11.25

« Je suis la résurrection et la vie. » Jean 11:25. Celui qui avait dit : « Je donne ma vie, afin de la reprendre » (Jean 10:17), en sortant du tombeau revint à une vie qu’il possédait en lui-même. Son humanité mourut, mais non sa divinité. Par sa divinité le Christ avait le pouvoir de briser les liens de la mort. Il déclare avoir la vie en lui-même et pouvoir vivifier qui il veut.

Toutes les créatures vivent par la volonté et la puissance de Dieu. Elles bénéficient de la vie du Fils de Dieu. Quels que soient leurs capacités et leurs talents, leur vie procède de la Source de toute vie. Il est la source, la fontaine de la vie. Celui-là seul qui possède l’immortalité, et qui demeure dans la lumière et la vie, peut dire, à propos de sa vie : « J’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre. » (Jean 10:18).

Les paroles du Christ : « Je suis la résurrection et la vie » (Jean 11:25) furent entendues distinctement par la garde romaine. L’armée entière de Satan les a entendues. Et nous les comprenons quand nous les entendons. Le Christ était venu offrir sa vie en rançon pour plusieurs. Le bon Berger avait sacrifié sa vie pour ses brebis. La justice de Dieu exigeait cette pénalité pour sauvegarder la loi. Nul autre moyen de sauvegarder la loi, de la proclamer sainte, juste et bonne. Aucun autre moyen de faire paraître le caractère excessivement péchant du péché et de maintenir l’honneur et la majesté de l’autorité divine. {MC1 354.1-3}

La mort du Fils unique de Dieu a rendu magnifique la loi du gouvernement divin. Le Christ a porté la coulpe des péchés du monde. Notre suffisance n’existe que grâce à l’incarnation et à la mort du Fils de Dieu. Il a pu souffrir, soutenu par sa divinité. Il a pu endurer, exempt qu’il était de toute tache de déloyauté ou de péché. Le Christ a triomphé pour le salut de l’homme en acceptant un juste châtiment. Tout en assurant la vie éternelle aux hommes, il a glorifié la loi. {MC1 355,1}

Vigile matinale 22 Juin

22 juin 2016

« Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. » 1 Thessaloniciens 4.14

Tous ceux qui sont un avec le Christ par la foi en lui font une expérience qui équivaut à la vie éternelle. « Comme le Père qui est vivant m’a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. » Jean 6:57. Il « demeure en moi, et je demeure en lui ». Jean 6:56. « Je le ressusciterai au dernier jour. » Jean 6:54. « Car je vis, et vous vivrez aussi. » Jean 14:19.

Le Christ s’est identifié avec l’humanité pour que l’humanité puisse s’identifier avec lui quant à l’esprit et la vie. En vertu de son union et de son obéissance à la Parole de Dieu, sa vie devient leur vie. Il dit au pécheur repentant : « Je suis la résurrection et la vie. » Jean 11:25. Le Christ considère la mort comme un sommeil — silence, obscurité, sommeil. Il en parle comme devant avoir une brève durée. « Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais », dit-il. Jean 11:26. « Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. » Jean 8:51. « Il ne mourra jamais ! » Jean 8:52 (V. synodale). La mort importe peu au croyant. Mourir avec lui n’est que dormir. « Dieu amènera avec Jésus ceux qui se sont endormis en lui. » 1 Thessaloniciens 4:14. {MC1 355.3-4}

Vigile matinale 21 Juin

21 juin 2016

« Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire. » Colossiens 3.4

Pour tout croyant, le Christ est la résurrection et la vie. Par le Sauveur nous retrouvons la vie que le péché nous a fait perdre ; car il possède en lui-même une vie qui lui permet de ressusciter qui il veut. Il a le droit de communiquer l’immortalité. Il reprend possession de la vie qu’il a donnée étant homme, et il la communique à l’humanité. « Je suis venu, dit-il, afin que les brebis aient la vie et qu’elles l’aient en abondance. » « Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. » « Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour. »

La mort est peu de chose pour le croyant. Le Christ, en parlant d’elle, a dit : « Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. » La mort du chrétien n’est qu’un sommeil, un repos dans le silence et l’obscurité. Si vous croyez, votre vie est cachée avec le Christ en Dieu, et « quand le Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire ».

Le cri qui a retenti sur la croix : « Tout est accompli » a été entendu même parmi les morts. Il a traversé les parois des sépulcres et ordonné à ceux qui dormaient de se relever. Il en sera de même quand la voix du Christ se fera entendre du ciel. Cette voix pénétrera jusque dans les sépulcres, elle en brisera les barres, et ceux qui sont morts en Christ se lèveront. Quelques sépulcres seulement furent ouverts lors de la résurrection du Sauveur ; mais, lors de son retour, tous les morts qui lui sont précieux entendront sa voix et seront revêtus d’une vie glorieuse, immortelle. La même puissance qui a ressuscité le Christ d’entre les morts fera revivre son Église et la glorifiera avec lui, au-dessus de toute principauté, de toute puissance, et de tout nom qu’on peut nommer non seulement en ce siècle-ci, mais aussi dans le siècle à venir. {JC 789.2-4}

1 Chroniques 7

20 juin 2016
[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/13_1chroniques/1chr_07.mp3]

1 Fils d’Issacar: Thola, Pua, Jaschub et Schimron, quatre.

2 Fils de Thola: Uzzi, Rephaja, Jeriel, Jachmaï, Jibsam et Samuel, chefs des maisons de leurs pères, de Thola, vaillants hommes dans leurs générations; leur nombre, du temps de David, était de vingt-deux mille six cents.

3 Fils d’Uzzi: Jizrachja. Fils de Jizrachja: Micaël, Abdias, Joël, Jischija, en tout cinq chefs;

Vigile matinale 20 Juin

20 juin 2016

« Ne vous étonnez pas de cela ; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront.  Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. » Jean 5.28-29

Il est réservé aux hommes de mourir une fois, après quoi vient le jugement. Par conséquent, ceci implique nécessairement que c’est durant les jours de notre vie sur terre qu’il convient de bien faire. Une fois emporté par la mort, il sera trop tard, il ne restera alors plus que le jugement. Quelle solennelle vérité ! Certes, nous devrions traiter ce sujet avec le plus grand des sérieux. Indiscutablement, la légèreté n’est pas de mise dans cette affaire. Réalisons-le, il en va de notre destinée éternelle ! Comment trouver le repos tant que nous sommes dans l’incertitude à ce propos ? L’âme oppressée pourrait-elle bien s’apaiser avant d’obtenir une réponse à cette question brûlante : « Que devons-nous faire pour être sauvés ? » Non, assurément !

Les Écritures ne restent pas muettes face à nos angoisses. Telles sont les paroles pleines de consolation qui nous sont rapportées : « Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille ». La voie du salut nous est révélée clairement et sans détour, à nous de l’emprunter ! Remarquons-le bien, la Bible ne laisse planer aucun doute quant à la position de l’homme devant Dieu : il est pécheur et vendu au péché. Or, le salaire du péché, c’est la mort. La destinée du pécheur est donc scellée. Plusieurs se bercent d’illusions funestes et refusent de recevoir ce témoignage. Peut-être, pensent-ils, Dieu se montrera-t-Il clément envers eux. Ils se trompent. C’est aujourd’hui que Dieu fait grâce à ceux qui se repentent et croient dans le Nom du Seigneur Jésus. Comprenons-le, lui-même est le don de Dieu pour le salut de l’humanité.

En réalité, ceux qui le rejettent méprisent par la même occasion l’Amour de Dieu. À la croix, le Seigneur a supporté le châtiment que nous méritions. Maintenant, ceux qui demeurent en Jésus-Christ ne sont plus exposés à la condamnation. Leur dette est payée pour toujours. Pour les autres, la colère de Dieu demeure sur eux et, s’ils ne meurent pas dans le Seigneur, ils devront faire face à la justice, seuls. Quelle pensée effrayante ! C’est pourquoi, si ce n’est pas déjà fait, ne perdons pas de temps, hâtons-nous de nous mettre à l’abri ! Hâtons-nous de trouver refuge dans notre Sauveur ! Un message d’amour venant de Dieu.

1 Chroniques 6

19 juin 2016

[audio:http://adventiste.re/files/audio-bible/at/13_1chroniques/1chr_06.mp3]

1 Fils de Lévi: Guerschom, Kehath et Merari.

2 Fils de Kehath: Amram, Jitsehar, Hébron et Uziel.

3 Fils d’Amram: Aaron et Moïse; et Marie. Fils d’Aaron: Nadab, Abihu, Eléazar et Ithamar.