Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

Vigile matinale du 15 février

15 février 2021

Le Christ, le bon berger

« Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, comme le Père me connaît et comme Je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. » Jean 10 : 14, 15

«Je connais mes brebis», dit Jésus. Arrêtons-nous sur cette pensée. Nous sommes connus de Dieu avant de le recevoir. «Je connais mes brebis.» Comment une âme devient-elle la propriété du Christ ? En acceptant de le recevoir. Mais, auparavant, le Christ l’avait choisie. Il connaissait tous ceux qui répondraient à son appel, et aussi ceux qui, disposés à le recevoir, allaient néanmoins se détourner de lui à cause de l’opposition. Jean dit à tous : «Voici l’agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde.» (Jean 1 : 29.) Ceux qui, ayant entendu la voix, ont regardé à Jésus comme à l’agneau de Dieu et ont cru en lui, sont, de leur plein gré, devenus sa propriété. Néanmoins, leur décision de suivre le Christ était une réponse à son appel. Jésus nous a manifesté son amour avant que nous l’aimions.

Toute la famille humaine est confiée à Jésus comme les brebis le sont au berger. Ces brebis et ces agneaux doivent recevoir des soins adéquats. Ils seront gardés par le fidèle berger en chef et confiés à des bergers adjoints. S’ils obéissent à la voix du berger ils ne seront pas dévorés par les loups.

Jésus dit : «Mes brebis entendent ma voix … et elles me suivent.» (Jean 10 : 27.) Le berger d’Israël ne presse pas son troupeau, mais il le conduit. Son attitude même est une invitation.

«Mes brebis entendent ma voix.» Si nous sommes de vrais fils et filles de Dieu, non seulement nous entendrons, mais nous reconnaîtrons sa voix parmi toutes les autres. Nous apprécierons les paroles du Christ et distinguerons de toutes les erreurs ambiantes la vérité telle qu’elle est en Jésus, et la vérité rafraîchira nos âmes et les remplira de joie.

La magnifique description consignée dans le chapitre sept de l’Apocalypse est un symbole pastoral. «Ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, et le soleil ne les frappera point, ni aucune chaleur. Car l’agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie.» (Apoc. 7 : 16, 17.) (E.G. White – Pour mieux connaître Jésus-Christ)

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