« Et, bien qu’ils connaissent le jugement de Dieu, déclarant dignes de morts ceux qui commettent de telles choses, non seulement ils les font, mais ils approuvent ceux qui les font. » Romains 1.32
Dans l’Écriture, les médisants sont comptés avec “les impies”, les hommes “ingénieux au mal”, ceux qui sont “sans affection, sans indulgence”, “pleins d’envie, de meurtre, de discorde, de fraude, de vice”. Or, “le jugement de Dieu”, c’est que “ceux qui pratiquent de telles choses sont dignes de mort”. Romains 1:30, 31, 29, 32. Et celui que Dieu accueille comme un citoyen de Sion est celui “qui dit la vérité selon son cœur. Il ne calomnie pas de sa langue, […] il ne jette pas le déshonneur sur ses proches.” Psaumes 15:2, 3. {Éd 266.5}
La Parole de Dieu condamne aussi ces phrases oiseuses et grossières qui confinent à l’impiété. Elle condamne les compliments trompeurs, les faux-fuyants, les exagérations, les déformations, toutes choses si courantes dans la société, le travail, les affaires. “Que votre parole soit oui, oui, non, non; ce qu’on y ajoute vient du malin.” Matthieu 5:37. “Comme un furieux qui lance des flammes, des flèches et la mort, ainsi est un homme qui trompe son prochain et qui dit: C’était pour plaisanter.” Proverbes 26:18, 19. {Éd 267.1}
A l’ombre du bavardage se tapit l’insinuation, l’allusion sournoise qui sécrète le mal que les hommes au cœur trouble n’osent pas répandre ouvertement. Il faut que les jeunes apprennent à fuir cela comme ils fuiraient la lèpre. {Éd 267.2}