Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

Vigile matinale 18 mars

18 mars 2019

La main guérissante de Dieu (Partie 2)

« Et invoque-moi au jour de la détresse; Je te délivrerai, et tu me glorifieras. » Psaumes 50:15

Selon les instructions du médecin, je me suis rendue compte que l’état de jean état grave. Le médecin m’intima l’ordre de lui donner immédiatement un compte-rendu de la procédure que suivrait l’hôpital pour qu’il sache quelles mesures prendre par la suite. A l’hôpital j’ai expliqué à l’infirmière ce qui s’était passé. Après avoir examiné Man, l’infirmière a exprimé un choc. je pouvais sentir que ma fille courait un grave danger. L’infirmière en a appelé une autre, qui, après avoir ausculté Joan, a fait appel à une autre infirmière qui a aussi exprimé un choc tout comme la première. Ceci m’a vraiment inquiétée. J’ai alors intensifié mes prières, commençant à plaider avec Dieu.

L’infirmière en chef a décidé d’appeler le médecin immédiatement. Je luttais pour retenir mes larmes. Le Seigneur m’a donné tout de suite l’idée, la force et le courage de conduire 80 km pour un plus grand hôpital dans la nuit avec mes enfants malades. Alors que je conduisais, je ne pouvais retenir mes larmes plus longtemps et je suis contente que Dieu ait vu mes larmes et mon cœur brisé.

Dieu nous a conduites à l’hôpital sans encombre. Quand nous sommes arrivées, l’infirmière en chef qui s’occupait de nous, nous a informées que le médecin avait été retenu, mais elle nous a donné des médicaments et m’a dit de surveiller Joan toute la nuit. Elle a mis l’accent sur le fait que je devrais retourner hâtivement à l’hôpital si l’état de Joan se dégradait, même légèrement. J’ai appelé le pédiatre et lui ai fait un compte-rendu, et il trouvait bien les médicaments, accentuant aussi le besoin de contrôler Joan et de retourner à l’hôpital au moindre changement.

Ce fut l’une des plus longues nuits que j’aie jamais connues. Non seulement ai-je passé la nuit à surveiller l’état de Joan et celui de ses sœurs, j’ai aussi interrogé Dieu. Quand je regarde en arrière, je ne peux que louer Dieu pour Sa fidélité car il était présent pendant toute cette épreuve.

Lorsque le matin est arrivé, je me suis précipitée chez le pédiatre. Le médecin n’a pu que s’exclamer qu’il n’avait aucun doute qu’il faisait face à un miracle. Il a alors expliqué que Joan souffrait de l’angine de Ludwig,, et, selon ce qu’il avait compris de son état, elle aurait dû être morte ou du moins dans un hôpital, après être passée par une opération pour lui insérer un tube dans la gorge pour qu’elle respire. je loue Dieu pour la protection qu’il lui a accordée à ce moment-là!

Pépite de santé:
« Parfois Dieu unit ses forces à celles d’agents humains pour opérer un miracle. »

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