Ce N’est Pas Fini jusqu’à ce que ce Soit Fini (Partie 2)

« Jésus les regarda et leur dit : C’est impossible aux hommes, c’est possible à Dieu. » Matthieu 19:26

Le rêve que j’avais fait la nuit précédente repassait dans mon esprit.j’avais rêvé que le faisais une tournée à l’hôpital, priant pur les malades. Quand j’arrivai à un certain patient, une voix me dit: “Il ira bien après 21 jours. » Au début je n’avais pas pris le rêve au sérieux, mais la visite de Sarah et de John me poussait à reconsidérer ce rêve.

Mon défi était que je ne voulais pas assumer que le rêve était directement connecté à leur patient. D’autre part, je luttais avec le timing du rêve en relation avec leur visite. Je finis par croire que les deux avaient un lien. Pour moi c’était un saut dans la foi. Je me jetai dans la profondeur de la foi en Dieu. Je pris mon courage et crus qu’un miracle allait se passer. J’appelai donc les anciens et leur racontai mon rêve.

Pour faire court, l’hôpital concerné nous autorisa a donner l’onction au frère de Sarah dans sa chambre privée. Pour moi, il semblait que je donnais l’onction à une personne sans vie. il n’y avait aucun signe de vie ou de promesses qu’il y aurait de la vie à nouveau. C’était une question d’espérer contre tout espoir. Mais étonnamment, Sarah gardait vivante sa foi. Elle rayonnait de confiance qu’un miracle se passerait. Ma prière silencieuse était: « Seigneur, viens au secours de mon incrédulité. » Puis nous nous rendîmes à l’église.

Nous retournâmes pour la visite de l’après›midi pour nous rendre compte qu’un avait laissé sortir le patient. La famille avait reçu du médecin la nouvelle la plus triste de la journée: « Nous avons fait tout ce qui est possible d’un point de vue médical et nous ne pouvons rien faire de plus. Nous ne nous attendons pas à ce que ce patient vive au-delà de quatre jours à moins d’un miracle. Son état a empire et se détériore d’heure en heure. »

Dieu permet que notre foi soit parfois mise à l’épreuve. Pensez à ceci: j’avais rêvé que quelqu’un se rétablirait en 21 jours et voici que les médecins ne donnaient à notre patient pas plus de quatre jours. En fait, ils ne s’attendaient pas à ce qu’il vive jusqu’au lendemain. Je rassemblai tout le courage que j’avais. Je commençai à croire qu’il était le patient dont j’avais rêvé. Ma foi se renforça même s’il semblait insensé d’attendre un miracle, étant donné la situation.

(à suivre)

Pépite de santé :
« Il n’y a rien de plus rassurant que la paix dont font l’expérience ceux qui placent leurs vies entre les mains d’un Dieu aimant. »