« Je fais mes délices de tes commandements ». Je les aime. » – Ps. 119:47.
« Le Seigneur a décidé que toute âme qui obéit à sa parole aura sa joie, sa paix, sa puissance qui garde continuellement. Ces hommes et ces femmes sont toujours amenés près de Lui, non seulement quand ils se mettent à genoux devant Lui dans la prière, mais aussi quand ils prennent en charge les obligations de la vie. Il leur a préparé une demeure, dans laquelle Lui-même va s’installer avec eux, là où la vie est purifiée de toute grossièreté, de tous les faits non affectueux. Par cette communion intacte avec Lui, ils sont devenus ses collaborateurs dans leur carrière. » – In Heavenly Places, p. 53.
« Quand Jésus-Christ demeure dans un cœur, celui-ci est tellement rempli de l’amour et de la joie de la communion du Seigneur qu’il s’attache à lui de toutes ses forces. Dans la contemplation du Sauveur, le moi est oublié. Son amour devient le grand mobile de toutes les actions. Ceux qui ont compris l’amour de Dieu ne se demandent pas quel est le service minimum qu’ils peuvent lui rendre sans être rejetés. Ils ne visent pas au plus bas degré de la vie chrétienne, mais ils s’efforcent de se conformer parfaitement à la volonté de leur Rédempteur. Ils abandonnent tout, et ils manifestent dans la recherche des choses éternelles un intérêt et une ardeur proportionnés à la valeur de l’objet de leurs recherches.
Dieu réclame des esprits soumis et désireux d’être instruits. Ce qui donne à la prière son caractère sublime, c’est le fait qu’elle émane d’un cœur obéissant et aimant. » – Avec Dieu Chaque Jour, p. 9.
« Si vous m’aimez, gardez mes commandements. » – Jn. 14:15.
« Celui qui s’efforce de garder les commandements de Dieu uniquement par devoir ne connaîtra jamais la joie de l’obéissance. Ce n’est pas là obéir. Celui qui considère la soumission à la loi divine comme un fardeau, parce qu’elle contrarie ses désirs, n’est pas réellement chrétien. La véritable obéissance procède d’un principe qui a sa source dans l’être intérieur. Elle émane de l’amour de la justice et de la loi de Dieu. L’essence de toute justice, c’est la fidélité à notre Rédempteur qui nous pousse à faire le bien par amour du bien ? parce que le bien est agréable à Dieu. » – Les Paraboles de Jésus, ch.7.
« Nous sommes dans ce monde pour apporter de l’aide et pour être une bénédiction les uns aux autres, en s’unissant avec Christ dans l’effort pour restaurer l’image de Dieu dans l’homme. Pour faire ce travail, nous devons apprendre de Jésus. «Prenez mon joug sur vous » dit-il, «et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. » Dans cette promesse, il n’y a pas de « si ». Ceux qui ont eu l’expérience de porter le joug de restriction et d’obédience du Christ savent que cela signifie avoir le repos et la paix en lui. Dans l’obéissance il y a la joie et la consolation. Des saints anges planent autour des personnes obéissantes pour les garder dans les chemins de la paix. » – Atlantic Union Gleaner, 9 sept. 1903.
« Il n’y a pas de salut dans la foi en Christ seulement, mais il est aussi révélé par l’obéissance. Tout être humain est sous l’engagement solennel d’obéir à Dieu. Son bonheur présent et son bonheur éternel dépendent de son obéissance volontaire aux exigences divines. La volonté et l’inclination de l’homme doivent être entièrement données à Dieu. Quand cela est fait, alors l’homme coopére avec Dieu, en montrant, par précepte et par l’exemple, qu’il a choisi d’être, dans toutes ses voies, sous le contrôle de son Créateur. Dieu se réjouit quand, comme Moïse, ses enfants choisissent de le servir plutôt que de profiter des plaisirs de ce monde. Si on pouvait enrouler le rideau, si les hommes pouvaient contempler l’armée céleste alors qu’ils glorifient Dieu avec des chants d’allégresse et de joie, ils se rendraient compte que l’obéissance provoque toujours la joie, et la désobéissance provoque la tristesse. Dieu et les anges se réjouissent à chaque victoire remportée par un chrétien; mais quand la tentation domine l’âme, le ciel va s’effondrer dans la tristesse. » – Review and Herald, 14 déc. 1897.
« Nous donnons place au mensonge au lieu de la vérité, et nous glorifions Satan, quand nous marchons dans le chagrin et la tristesse parce que nous pensons que dans la vie chrétienne on nous exige plus que ce que nous pouvons effectuer. Votre Rédempteur vous aime, et Il vous offre beaucoup de joies éternelles dans une vie d’obéissance. Il n’y a personne qui a déjà goûté à la joie de la soumission complète et volontaire à Dieu, qui n’ait ressenti la paix, le bonheur, et l’assurance dans son amour. » – Review and Herald, 13 jan. 1891.
Questions pour la réflexion personnelle :
- Éprouvez-vous la joie de l’obéissance au Christ?
- Y-a-t-il quelques choses qui vous empêchent d’avoir la joie en obéissant votre Sauveur, qui est amour?