« Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable. »
Romains 12:1
Chaque matin et chaque soir, un agneau âgé d’un an était offert comme holocauste sur l’autel, symbolisant la consécration quotidienne de la nation et leur dépendance permanente au sang expiatoire du Christ. Seulement une offrande « sans défaut » pourrait être un symbole de sa pureté parfaite comme « d’un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1 : 19). L’apôtre Paul a dit « Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable » (Romains 12:1). Ceux qui l’aiment de tout leur coeur désireront Lui offrir le meilleur service, une vie en harmonie constante avec sa volonté. (From Eternity Past, pp. 244, 245)
Tout ce qui nous fait trébucher doit être sacrifié, afin que nous puissions atteindre ce noble idéal. C’est dans le domaine de la volonté que le péché retient son emprise sur nous. (…) Il nous semble souvent que soumettre notre volonté à Dieu, c’est consentir à traverser la vie, en étant boiteux ou manchot. Mais il est mieux pour soi, dit le Christ, d’être boiteux, blessé, manchot si nécessaire, pouvez entrer dans la vie. Ce que vous voyez comme grand malheur est en fait une porte menant vers le plus bénéfice. (Reflecting Christ, p. 377)
Dieu n’acceptera rien de moins qu’une soumission désintéressée. Les chrétiens sans conviction et pécheurs ne pourront jamais entrer au ciel. Ils ne trouveront aucun bonheur là-bas ; puisqu’ils ne savent rien des principes nobles et saints qui gouvernent les membres de la famille royale. (This Day With God, p. 145)
J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. (Gal. 2 : 20)
S’offrir à Dieu exigera un sacrifice ; mais c’est un sacrifice de l’inférieur pour le supérieur, du profane pour le spirituel, de ce qui est périssable pour l’éternel. Il n’est pas dans le dessein de Dieu que notre volonté soit détruite, car c’est seulement en l’exerçant que nous pouvons accomplir ce qu’Il veut que nous fassions. Il s’agit de Lui céder notre volonté, pour que nous la recevions en retour, purifiée et raffinée, en symbiose avec la Divinité, de telle sorte qu’Il pourra déverser en nous le courant de son amour et de sa puissance. Aussi amer et aussi douloureux soit-il pour le coeur obstiné et égaré, pour toi ce qu’est qu’avantage. » (Reflecting Christ, p. 377)
Le Seigneur nous a assigné un grand travail, et Il nous invite à Le contempler, Lui faire confiance, marcher avec Lui, parler avec Lui. Il nous invite à Lui abandonner, d’une manière désintéressée, tout ce que nous avons et tout ce que nous sommes ; alors quand vient le moment où Il nous appelle à faire un sacrifice pour Lui, nous serons prêts et disposés à obéir. C’est seulement en donnant tout au Christ, que nous jouirons dans la plénitude de la grâce divine. C’est en maintenant le feu allumé sur l’autel des holocaustes que nous connaîtrons le sens du vrai bonheur. Dieu lèguera dans l’avenir, la plénitude de sa grâce divine à ceux qui ont accompli le plus dans le présent. (…) Chaque jour, Il nous met à l’épreuve par différentes circonstances ; et c’est dans chaque effort loyal qu’Il choisit ses ouvriers, non parce qu’ils sont parfaits, mais parce qu’ils sont disposés à travailler pour Lui d’une manière désintéressée ; Il découvre qu’ils pourront atteindre la perfection en restant connectés à Lui. (Our High Calling, p. 191)
L’appel du Christ au sacrifice et à la soumission sans réserve signifie la crucifixion du moi. Pour répondre à cet appel, il nous faut une foi inconditionnelle en Lui, le parfait Exemple ; nous devons être clairement conscients qu’il est de notre devoir de Le représenter dans le monde. Tous ceux qui travaillent pour le Christ doivent suivre sa ligne de conduite. Ils doivent vivre sa vie. Son appel à un abandon total doit être suprême pour eux. Ils ne doivent pas tolérer qu’aucun lien et intérêt terrestre les empêchent de Lui rendre l’hommage de leur cœur et de mettre leurs vies à son service. Ils doivent travailler sérieusement et sans relâche avec Dieu pour sauver les âmes qui périssent sous la puissance du tentateur. (The Upward Look, p. 235)
Cet appel qui nous invite à tout placer sur l’autel du service s’adresse à chacun de nous. Il ne nous est pas demandé de servir comme Élisée, ni de vendre tous nos biens, mais d’offrir au Seigneur la première place dans nos vies, et par conséquent de ne laisser passer aucune journée sans faire quelque chose pour l’avancement de son règne. Nous ne sommes pas tous appelés au même travail. L’un devra peut-être partir en pays étranger, l’autre sera appelé à soutenir financièrement l’œuvre évangélique. Mais le Seigneur accepte le don de chacun. Ce qui compte, c’est la consécration de nos vies et de tout ce qui s’y rattache. Ceux qui y parviennent entendront l’appel divin et lui obéiront. (Prophètes et Rois, p. 166)
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