Réveil et Reforme

Blog « Réveil et Réforme » de l'Église Adventiste du Septième Jour de l'île de La Réunion

Vigile matinale 02 octobre

2 octobre 2017

Le risque de donner

« Donnez, et Dieu vous donnera. Dieu vous donnera comme vous donnez aux autres » Luc 6 : 38

Le bon sens populaire vous le dira, la vie est pleine de risques. Si vous prenez l’avion, vous risquez de tomber avec lui. Un jour de pluie, le parapluie ouvert peut crever l’œil d’un passant de la rue. En mangeant trop gras, le risque de l’infarctus vous guette. Nous prenons même des risques en parlant, puisque nous pouvons être mal compris. Si nous nous taisons, on nous traite de timoré. Un coup de fil peut nous donner un coup de cœur. Les risques sont partout, sur terre, sur mer, dans les airs, et même dans notre chambre à coucher. Pourtant, à vouloir trop se protéger, nous nous coupons du monde environnant. Au risque de la peur et de l’égoïsme.

Explication en profondeur sur le sabbat

1 octobre 2017

LA SIGNIFICATION DU SABBAT.
Le sabbat est riche de signification et de profondeur spirituelle.

1. UN MÉMORIAL PERPÉTUEL DE LA CRÉATION.
Répétons-le : la signification première que les dix commandements attribuent au sabbat est que cette institution constitue un rappel de la création du monde (Exode 20 : 11, 12). Le précepte relatif à l’observation du septième jour en tant que sabbat est « indissolublement lié à l’acte créateur, et l’institution du sabbat ainsi que le commandement qui s’y rapporte sont une conséquence directe de l’acte de création. De plus, la famille humaine tout entière doit son existence à l’acte créateur de Dieu ainsi commémoré. En conséquence, l’obligation de se conformer au précepte sabbatique en tant que mémorial de la puissance créatrice de Dieu incombe à toute la race humaine [15]. » Strong désigne le sabbat comme étant « une obligation perpétuelle en tant que mémorial de l’activité créatrice prescrit par Dieu même [16] ».

Ceux qui l’observent comme mémorial de la création le font en reconnaissance du fait « que Dieu est leur Créateur et leur Souverain légitime, qu’ils sont l’œuvre de ses mains et des sujets soumis à son autorité. Ainsi, cette institution était entièrement commémorative, et donnée à toute l’humanité. Elle n’avait rien de pré-figuratif et n’était pas exclusivement destinée à un peuple particulier [17]. » Aussi longtemps que nous adorerons Dieu parce qu’il est notre Créateur, le sabbat servira de signe et de mémorial de la création.

2. UN SYMBOLE DE LA RÉDEMPTION.
Quand l’Éternel délivra Israël de l’esclavage du pays d’Égypte, le sabbat — qui était déjà le mémorial de la création — devint en outre un mémorial de libération (Deutéronome 5 : 15). « Le dessein du Seigneur était que, s’il était observé comme il convient, le repos du sabbat hebdomadaire permettrait à l’homme de se libérer sans cesse de l’esclavage d’une “Égypte” qui dépasse les limites d’un pays ou d’une époque, et qui englobe tous les pays et tous les temps. L’homme moderne a besoin de s’affranchir de l’esclavage de la cupidité, de l’argent et de la puissance, des inégalités sociales, du péché et de l’égoïsme [18]. »

Quand nous l’envisageons à la lumière de la croix, le repos du sabbat apparait comme un symbole particulier de la rédemption. « Il (le sabbat) est le mémorial de l’exode grâce auquel nous sommes affranchis du péché sous la conduite d’Emmanuel. Le plus lourd fardeau que nous avons à porter est celui de la culpabilité causée par notre désobéissance. En rappelant le repos du Christ dans le tombeau et celui de la victoire sur le péché, le sabbat offre au chrétien la possibilité de recevoir et de faire l’expérience du pardon, de la paix et du repos du Christ [19]. »

3. UN SIGNE DE SANCTIFICATION.
Le sabbat est un signe de la puissance transformatrice de Dieu, un signe de sainteté et de sanctification : « Vous ne manquerez pas d’observer mes sabbats, car ce sera entre moi et vous, et parmi vos descendants, un signe auquel on connaîtra que je suis l’Éternel qui vous sanctifie. » (Exode 31 : 13 ; cf. Ezéchiel 20 : 20). Le sabbat est donc également un signe selon lequel Dieu est celui qui nous sanctifie. Comme les hommes sont sanctifiés par le sang du Christ (Hébreux 13: 12), le sabbat est un signe montrant que le croyant a accepté son sang pour la rémission de ses péchés.

De même que Dieu a mis à part le sabbat pour un usage saint, de même, il a mis son peuple à part en vue d’une mission sacrée — pour qu’il soit son témoin particulier. La communion qui s’établit en ce jour entre le Seigneur et son peuple mène à la sainteté ; le croyant apprend à compter non sur ses propres forces, mais sur Dieu qui le sanctifie.

  « La puissance qui créa toutes choses est la même qui recrée l’âme à son image. Pour ceux qui l’observent comme un jour sacré, le sabbat est donc un signe de sanctification. La véritable sanctification est l’harmonie avec Dieu, l’identification avec son caractère. On obtient cette sanctification en obéissant aux principes qui sont le reflet de son caractère. Le sabbat est donc le signe de l’obéissance. Celui qui, du fond du cœur, obéi au quatrième commandement, obéira à la loi tout entière. Il est sanctifié par l’obéissance » [20]. (Testimonies, vol. 6, p. 350).

4. UN SIGNE DE FIDÉLITÉ.
De même que la fidélité d’Adam et Ève fut mise à l’épreuve au moyen de l’arbre de la connaissance du bien et du mal placé au milieu du jardin d’Éden, de même, la fidélité de tous les humains envers Dieu sera testée par le commandement du sabbat qui est au milieu du décalogue.

La Bible révèle qu’avant le retour du Christ, l’humanité sera divisée en deux catégories : d’une part ceux qui sont fidèles et « qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus », d’autre part ceux qui adorent « la bête et son image » (Apocalypse 14 : 12, 9). Alors la vérité divine sera mise en pleine lumière devant le monde, et il sera évident pour tous que le respect du sabbat hebdomadaire selon les Écritures est le signe de la fidélité des humains envers le Créateur.

5. UN TEMPS PRIVILÉGIÉ DE COMMUNION AVEC DIEU.
Le Seigneur a créé les animaux pour qu’ils servent de compagnons à l’homme. Sur un plan beaucoup plus élevé, Dieu accorda à l’homme et à la femme le privilège de l’harmonie conjugale (Genèse 2 : 18-25). Mais au moyen du sabbat, le Très-Haut a fait à l’humanité un cadeau qui représente la forme de relation la plus noble qui se puisse concevoir : la communion avec lui-même. Les êtres humains n’ont pas été créés pour qu’ils nouent des liens affectifs avec les animaux seulement ou avec leurs semblables ; ils ont été créés pour la gloire de Dieu.

C’est le jour du sabbat que nous pouvons particulièrement ressentir la présence de Dieu parmi nous. Sans ce repos hebdomadaire, toute notre existence ne serait que travail et peine sans fin ni trêve. Tous les jours seraient pareils aux autres puisqu’ils seraient consacrés à la poursuite de nos intérêts temporels. Mais quand vient le jour du sabbat, il apporte avec lui l’espérance, la joie, le courage et donne un sens à notre vie. Il nous procure le temps nécessaire pour approfondir notre communion avec Dieu par l’adoration, la prière, le chant, l’étude et la méditation de sa parole, grâce aussi à notre action pour faire connaître l’Évangile aux autres. En un mot, le sabbat est une occasion privilégiée de faire l’expérience de la présence du Seigneur.

6. UN SIGNE DE LA JUSTIFICATION PAR LA FOI.
Les chrétiens ont la conviction que grâce aux lumières d’une conscience éclairée, les non-chrétiens qui cherchent sincèrement la vérité peuvent être amenés, par le Saint-Esprit, à comprendre les principes essentiels de la loi divine (Rom. 2 : 14-16). C’est pourquoi, mis à part le quatrième commandement, les neuf autres préceptes du décalogue ont été, dans une certaine mesure, observés en dehors même du christianisme. Il n’en est pas ainsi du commandement du sabbat.

La plupart des gens admettent sans difficulté la nécessité d’un jour de repos hebdomadaire ; en revanche, ils ont souvent du mal à comprendre pourquoi le travail que l’on accomplit les six premiers jours de la semaine est un devoir qui s’impose, mais que ce travail devient un péché lorsqu’il est accompli le septième jour. En effet, rien dans la nature ne nous dit qu’il faille observer ce septième jour. Les planètes tournent sur leur orbite, la végétation pousse, la pluie et le soleil se succèdent et les animaux continuent à vivre comme si rien ne distinguait un jour des autres jours. Dans ces conditions, pourquoi les humains doivent-ils observer le sabbat hebdomadaire ? « Pour le chrétien, il n’y a qu’une seule et unique raison, mais cette raison est amplement suffisante : Dieu a parlé [21]. »

C’est seulement en se référant à ce que le Seigneur lui-même a révélé dans sa parole que l’on peut comprendre la raison d’être de l’observation du sabbat. Ceux qui respectent le septième jour le font donc en se laissant guider par une foi inconditionnelle en Jésus-Christ, qui a prescrit cette observance. En respectant le sabbat, les croyants montrent qu’ils sont disposés à se soumettre à la volonté divine dans leur vie au lieu de se fier à leur propre jugement.

En sanctifiant le septième jour de la semaine, les chrétiens n’ont pas la prétention de se justifier devant Dieu. Leur observation du sabbat est plutôt le fruit de leur communion avec le Christ créateur et rédempteur [22]. Cette observation du jour sacré est la conséquence de la justice obtenue par la justification et la sanctification qui viennent de Dieu et qui prouve que ces croyants été délivrés de l’esclavage du péché et mis au bénéfice de sa justice parfaite.

« Un pommier ne devient pas pommier en produisant des pommes. Il doit d’abord être un pommier ; après quoi, il produit tout naturellement des pommes. Ainsi, le véritable chrétien n’observe pas le précepte du sabbat ou les neuf autres commandements du décalogue pour se rendre juste, mais cette observation de la loi est le fruit naturel de la justice à laquelle le Christ le fait participer. Celui qui respecte le sabbat dans cet esprit n’est pas un légaliste, car pour lui l’observation du septième jour est la manifestation extérieure de la justification et de la sanctification dont il a fait l’expérience intime. Si donc l’observateur du sabbat s’abstient ce jour-là d’accomplir certains actes profanes, ce n’est nullement pour gagner la faveur de Dieu, mais parce qu’il aime le Seigneur et qu’il veut employer au maximum les heures du sabbat pour entrer en communion plus étroite avec lui [23]. »

L’observation du sabbat montre que nous avons renoncé à nous confier dans nos propres œuvres et que avons cette certitude que seul Jésus-Christ notre Créateur peut nous sauver. En effet, « l’esprit qui anime une authentique observation du sabbat témoigne d’un amour suprême pour Jésus-Christ, le Créateur et le Sauveur, qui fait de nous de nouvelles créatures. Il nous permet d’observer convenablement le vrai jour de repos comme un signe de la justification par la foi [24] ».

7. UN SYMBOLE DU REPOS EN JÉSUS-CHRIST.
Le sabbat, qui était un mémorial de la libération d’Israël de la servitude égyptienne en vue du repos promis dans le pays de Canaan, différenciait les élus de cette époque des nations environnantes. D’une manière semblable, le sabbat est un signe de la délivrance du péché en vue du repos de Dieu, signe qui distingue le peuple élu du reste de l’humanité.

Quiconque est entré dans le repos auquel Dieu nous convie « se repose de ses œuvres, comme Dieu s’est reposé des siennes » (Hébreux 4 : 10). « Ce repos est un repos spirituel, un repos par rapport à “nos propres œuvres”, une rupture à l’égard du péché. Dieu appelle son peuple à entrer dans ce repos dont le sabbat et le pays de Canaan sont des symboles [25]. »

Quand Dieu eut achevé son œuvre de création et après qu’il se fut reposé le septième jour, il permit à Adam et Ève de goûter en lui le repos du sabbat. Malgré leur désobéissance, le plan originel de Dieu visant à offrir ce repos à l’humanité est resté inchangé. Après la chute, le sabbat fut maintenu comme un rappel de ce repos premier. « Ainsi, l’observation du sabbat hebdomadaire du septième jour témoigne non seulement de la foi au Dieu créateur de toutes choses, mais aussi de la confiance en son pouvoir de transformer la vie des hommes et des femmes et de les qualifier en vue du “repos” éternel qu’il destinait aux habitants de la terre [26]. »

Dieu a promis ce repos spirituel à l’Israël selon la chair. Bien que ce peuple ne soit pas parvenu à entrer dans ce repos, l’invitation divine demeure : « Un repos sabbatique reste donc en réserve pour le peuple de Dieu. » (Hébreux 4 : 9, T.O.B.). Tous ceux qui désirent entrer dans ce repos « doivent d’abord entrer, par la foi, dans le “repos” spirituel de Dieu, le repos du cœur grâce auquel le Seigneur nous affranchit du péché et de nos efforts en vue du salut [27] ».

Le Nouveau Testament invite le croyant à ne pas renvoyer à plus tard l’expérience de ce repos de la grâce que l’on obtient par la foi, car « aujourd’hui » est le moment propice pour y entrer (Hébreux 4 : 7 ; 3 : 13). Tous ceux qui sont entrés dans ce repos — qui consiste dans la grâce salvatrice obtenue par la foi en Jésus-Christ — ont renoncé à faire quelque effort que ce soit pour atteindre la justice par leurs propres œuvres. Dans ce sens, l’observation du sabbat est un symbole de l’entrée du croyant dans le repos de l’Évangile.

Ézéchiel 11

1 octobre 2017

1 L’esprit m’enleva, et me transporta à la porte orientale de la maison de l’Eternel, à celle qui regarde l’orient. Et voici, à l’entrée de la porte, il y avait vingt-cinq hommes; et je vis au milieu d’eux Jaazania, fils d’Azzur, et Pelathia, fils de Benaja, chefs du peuple.

2 Et l’Eternel me dit: Fils de l’homme, ce sont les hommes qui méditent l’iniquité, et qui donnent de mauvais conseils dans cette ville.

3 Ils disent: Ce n’est pas le moment! Bâtissons des maisons! La ville est la chaudière, et nous sommes la viande.

Vigile matinale 1er octobre

1 octobre 2017

Trois raisons pour se souvenir du sabbat

« Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. » Exode 20:8

Vous cogitez mais rien ne vient à votre esprit. Pourtant vous êtes certain d’avoir oublié quelque chose d’important alors que vous êtes déjà à la caisse. Il nous arrive d’oublier le portable, nos papiers, un rendez-vous important de santé ou professionnel et même les enfants à l’école. Que de fois cette situation se présente à nous et notre mémoire nous fait défaut. Voyez-vous, il y a tant de choses importantes dans cette vie qui nous distraient et nous éloignent de l’indispensable.

Vigile matinale 30 septembre

30 septembre 2017

Êtes-vous trop pressé ?

Jésus leur dit : Venez à l’écart dans un lieu désert, et reposez-vous un peu. Car il y avait beaucoup d’allants et de venants, et ils n’avaient même pas le temps de manger. Marc 6 : 31

Tout avait commencé cet après-midi-là par une interminable réparation de mon pneu avant. Il me fallait être à une importante réunion de travail dans les trente prochaines minutes. Je comptais bien rattraper le temps perdu. Mais le trafic se jouait de moi. Il y avait systématiquement un « trainard » qui contrariait mon plan. Du jeune conducteur en début d’apprentissage au tracteur sortant du champ tout juste devant moi. Puis des touristes égarés cherchant leur chemin à tâtons et ce camion trop chargé pour aller plus vite dans cette côte sinueuse. Avez-vous connu ces jours où tout semble se liguer contre vous pour vous arrêter ?

Ézéchiel 9

29 septembre 2017

1 Puis il cria d’une voix forte à mes oreilles: Approchez, vous qui devez châtier la ville, chacun son instrument de destruction à la main!

2 Et voici, six hommes arrivèrent par le chemin de la porte supérieure du côté du septentrion, chacun son instrument de destruction à la main. Il y avait au milieu d’eux un homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture. Ils vinrent se placer près de l’autel d’airain.

3 La gloire du Dieu d’Israël s’éleva du chérubin sur lequel elle était, et se dirigea vers le seuil de la maison; et il appela l’homme vêtu de lin, et portant une écritoire à la ceinture.

Vigile matinale 29 septembre

29 septembre 2017

Donne-moi un cœur pur

« Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu’au dedans ils sont pleins de rapine et d’intempérance. Pharisien aveugle ! Nettoie premièrement l’intérieur de la coupe et du plat, afin que l’extérieur aussi devienne net. » Matthieu 23:25,26

Vous imaginez-vous faisant la vaisselle et lavant un verre, en nettoyant simplement l’extérieur ? Un des principes fondamentaux pour bien faire la vaisselle est de surtout penser à laver l’intérieur, car c’est la partie la plus utilisée et la plus sale.

Ézéchiel 8

28 septembre 2017

1 La sixième année, le cinquième jour du sixième mois, comme j’étais assis dans ma maison, et que les anciens de Juda étaient assis devant moi, la main du Seigneur, de l’Eternel, tomba sur moi.

2 Je regardai, et voici, c’était une figure ayant l’aspect d’un homme; depuis ses reins en bas, c’était du feu, et depuis ses reins en haut, c’était quelque chose d’éclatant, comme de l’airain poli.

3 Il étendit une forme de main, et me saisit par les cheveux de la tête. L’esprit m’enleva entre la terre et le ciel, et me transporta, dans des visions divines, à Jérusalem, à l’entrée de la porte intérieure, du côté du septentrion, où était l’idole de la jalousie, qui excite la jalousie de l’Eternel.

Vigile matinale 28 septembre

28 septembre 2017

Dieu est pour nous

« Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui qui n’a pas épargné son propre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi tout avec lui, par grâce ? » Romains 8.31, 32

Paul fait une confession : le combat contre le péché est très dur pour lui. Malgré cela, il n’a pas ancré sa pensée sur le drame de sa vie, mais il s’est concentré sur la liberté, la vie et la justification que nous avons en Jésus Christ ; sur le fait que nous sommes Fils de Dieu et héritiers d’une terre sans transgression et que malgré les durs combats en ce monde, nous pouvons nous reposer dans l’espérance d’une gloire future. Face à ces évidences, avons-nous encore peur ?

Vigile matinale 27 septembre

27 septembre 2017

Deux Seigneurs

« Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus Christ, notre Seigneur. » Romains 6.23

Ce verset biblique est fréquemment cité pour démontrer que la conséquence du péché est la mort. Souvent, nous oublions de réfléchir à ce beau verset qui nous parle aussi de la Bonne nouvelle du salut !